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 Sacrements de l'Eglise Aristotélicienne

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MessageSujet: Sacrements de l'Eglise Aristotélicienne   Sacrements de l'Eglise Aristotélicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:17

La confession des péchés



La confession des péchés (l’aveu),



La confession même d’un point de vue simplement humain, nous libère et
facilite notre réconciliation avec les autres. Par l’aveu, le pécheur
regarde en face les fautes dont il s’est rendu coupable ; il en assume
la responsabilité et par là, il s’ouvre de nouveau aux autres.
S’il est croyant, il s’ouvre à son Créateur par l’intermédiaire du
confesseur. Il retrouve la communion avec les Saints et la communauté
des fidèles.


Le Très Haut jugera nos péchés ; si on s’accuse soi-même, on se joint
au Créateur. L’humain et le pécheur sont pour ainsi dire deux réalités
: quand tu entends parler de l’homme, c’est le Très Haut qui l’a fait ;
quand tu entends parler du pécheur, c’est l’humanité qui en est la
source depuis que les enfants de la Création ont découvert l’acédie.
Détruis ce que tu as fait contre la nature de l’humain, pour que Notre
Créateur sauve l’âme qu’il a faite... Quand tu commences à détester ce
que tu as fait, c’est qu’il n’y a pas de bien dans ce que tu as fait,
et le mal est l’absence de bien.
Le commencement des œuvres bonnes, c’est la confession des œuvres mauvaises. Tu fais la vérité et tu viens à la Lumière.



La pénitence



Beaucoup de péchés causent du tort au prochain. Il faut faire le
possible pour le réparer (par exemple restituer des choses volées,
rétablir la réputation de celui qui a été calomnié, compenser des
blessures). La simple justice exige cela. Mais en plus, le péché blesse
et affaiblit le pécheur lui-même, ainsi que ses relations avec la
Création et l’éloigne du Très Haut.. L’absolution enlève le péché, mais
elle ne remédie pas à tous les désordres que le péché a causés.
Relevé du péché, le pécheur doit encore recouvrer la pleine santé
spirituelle. Il doit donc faire quelque chose de plus pour réparer ses
péchés : il doit " satisfaire " de manière appropriée ou " expier " ses
péchés. Cette satisfaction s’appelle aussi " pénitence ".


La pénitence, que le confesseur impose, doit tenir compte de la
situation personnelle du pénitent et doit chercher son bien spirituel.
Elle doit correspondre autant que possible à la gravité et à la nature
des péchés commis. Elle peut consister dans la prière, une offrande,
dans les œuvres de miséricorde, le service du prochain, dans des
privations volontaires, des sacrifices, et surtout dans l’acceptation
patiente de la punition.
On accepte de souffrir car on a fait souffrir, mais il ne faut pas oublier que souffrir n’est pas une vertu.

La souffrance comme pénitence n’a de sens que si elle sert à nous
rappeler combien si elle est pénible pour nous, elle le fut pour celui
qui a été notre victime.
Oane a dit « ne cherchez pas Dieu dans la souffrance, mais souvenez vous d’avoir souffert pour ne pas le perdre. »



L’absolution ou la réconciliation.



Le fidèle qui a reconnu et confessé ses fautes, qui a réparé les torts
causés, qui reconnaît qu’elles sont sources de mal et les abjure de
toute son âme, celui là pourra recevoir l’absolution d’un confesseur et
le Très Haut ne lui reprochera pas les actes absous justement. En
revanche si le pécheur à triché avec lui-même pour obtenir le pardon il
sera jugé doublement car il a blasphémé un sacrement.


L’absolution de l’Eglise libère l’âme du poids du péché, mais n’efface
pas la temporalité de celle-ci si elle est connue et hors des loi des
hommes.
Ainsi le conjoint qui commet l’adultère ne peut être déchargé
temporellement de sa faute que si celui ou celle envers qui il l’a
commis lui pardonne aussi. Ainsi le criminel ne serra pas déchargé de
ses responsabilités envers la justice tant que la justice ne déclare
pas en avoir fini avec lui.



En revanche nul ne pourra être poursuivi après avoir confessé ses
fautes sur le seul fait de la confession, car si elle est faite en
privé le confesseur est tenu au secret et est lié par le Très Haut à la
garder secrète jusque et après la mort.
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MessageSujet: Le bapteme   Sacrements de l'Eglise Aristotélicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:18

Le baptême





I) Aspect dogmatique. Source: doctrine de l'amitié Aristotélicienne.



Citation:
"L'Amitié
Aristotélicienne" au sens large, qui est une communauté de vie: Par le
Baptême chaque baptisé serait introduit dans une union spirituelle en
puissance qui serait donc un contact spirituel avec tous les autres
baptisés.

Le baptême introduit le fidèle dans une union avec les autres baptisé et une communion avec les Saints.



Le Baptême, ou rite d'entrée dans l'Eglise Aristotélicienne, donne
au nouveau croyant les prémisses de l'amitié Aristotélicienne parfaite.
Cette amitié est encore en puissance et demande à être développée par
un contact avec Dieu dans la prière et les sacrements, et aussi par le
témoignage de douceur et de compassion avec les autres.



Le baptême introduit donc dans une famille divine et humaine.
Divine car il met en relation avec Dieu. Humaine car il intègre dans la
société humaine de l'Eglise Aristotélicienne.





II) Formalités administratives





Le baptême possède cette dimension spirituelle mais il possède aussi
une valeur juridique. Comme tel certaines formalités doivent
l'accompagner.


*Baptême des enfants :



Pour un enfant ou un simple d’esprit la présence d'un parrain et d'une
marraine lors de la cérémonie est obligatoire. Leur devoir sera de
veiller à l'éducation religieuse de l'enfant. Les parants peuvent faire
office de Parrains aristotélicien.

Si l’enfant n’a pas l’âge de comprendre le sens de cette cérémonie
il ne doit pas être inscrit aux registres et il ne le ferra lui même
que le jours où il demandera confirmation de ce baptême.



*Baptême des adultes ( ou confirmations pour un adulte ayant été baptisé enfant)



A) En faire la demande explicite



B) Etre reconnu saint d’esprit et capable de comprendre l’engagement.



C) Ne pas être déjà baptisé



S’il est déjà baptisé nous avons 2 cas : [/u]



C1) Si c'est dans l'église Aristotélicienne on peut par contre
faire une confirmation du baptême. (C'est l'idéale si le baptisé à déjà
pour des raisons RP signalé avoir été baptisé)
La confirmation est en général utilisé pour les adultes qui ont été
baptisé enfants, ou ceux dont les traces du baptêmes ont été perdu ou
entaché d’irrégularité)



C2) Si c’est dans une Eglise hérétique ou carrément une religion
différente. Il faut en premier que le candidat renonce à ce baptême et
rejette ça foi en disant avoir été trompé. Il subira une pénitence en
rapport avec le niveau d’hérésie de son ancienne religion.
Il devra juste avant de recevoir le sacrement rappeler clairement et
honnêtement qu’il renonce à ses anciennes croyances pour entrer
pleinement et totalement dans l’amitié aristotélicienne. Dans le cas
d’une reconversion la présence d’un parrain baptisé est obligatoire.


D) Etre inscrit aux registres du Vatican.



E) C'est au curé de la paroisse que revient la tâche et la
responsabilité d'organiser ce sacrement, en cas d'empêchement ou dans
le cas où il n'y aurait pas de curé ou de diacre, l'officiant peut être
un clerc reconnu par l’église Aristotélicienne et n'étant pas sujet à
interdictions.
Dans le cas du baptême de nobles ou de personnages importants, le clerc
responsable peut demander à son Évêque ou un cardinal de diriger la
cérémonie.


F) Le parrainage est hautement souhaité mais non une obligation, à part
pour les reconversions. Toute fois la personne faisant office de
parrain ou de marraine doit être baptisée et non sujet à interdictions.





III) La cérémonie liturgique. Suite au concile Vatican I en l’an de l’amitié 1454





Un exemple conseillé de cette cérémonie se trouve en point IV. Il
peut être suivi ( préférable ) mais n'est pas obligatoire du moment que
certains points sont présents:


1) Aspersion d'eau accompagné des paroles: Je
te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut,
pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.




2) Déclaration solennelle de la Foi Aristotélicienne par le baptisé ou
les parrains et marraines si le baptisé n'a pas l’âge de raison.





IV) La cérémonie type. Suite au concile Vatican I en l’an de l’amitié 1454





1)Brève présentation de l'importance de la cérémonie et sur son sens, en reprenant les points:



-Agrégation à la communauté des fidèles

-Illumination de l'Ame par la Foi

-Début du chemin de purification.

-Libération de la vision purement matérielle du monde: accession au -monde des Idées.

-Promesse du paradis.



2) Introduction solennelle dans l'Eglise pour signifier
l'acceptation du nouveau croyant par la communauté et le statut de
nouvelle maison que l'Eglise possède pour le croyant.


3) Arrivée devant le Baptistère.



Lecture d'un texte du dogme

Exemple : LIVRE DES VERTUS -Livre 1, le Mythe Aristotélicien- Partie VII, l'amour.



Citation:
“Nous
sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais
notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc,
selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu
dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était
l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le
talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes
semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.



4) Serment d'allégeance à l'Eglise Aristotélicienne fait par le nouveau croyant.



Affirmation du credo:



Citation:
CREDO





Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,

Créateur du Ciel et de la Terre,

Des Enfers et du Paradis,

Juge de notre âme à l'heure de la mort.



Et en Aristote, son prophète,

le fils de Nicomaque et de Phaetis,

envoyé pour enseigner la sagesse

et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.



Je crois aussi en Christos,

Né de Maria et de Giosep.

Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,

Il est mort dans le martyr pour nous sauver.

Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.



Je crois en l'Action Divine;

En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;

En la communion des Saints;

En la rémission des péchés

En la Vie Eternelle.



AMEN






5)Baptême proprement dit par immersion: rite de purification des fautes passées.



Aspersion
d'eau accompagné des paroles: Je te baptise au nom de l’Eglise
Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les
Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.




6) Le baptisé reçoit un cierge et le célébrant le renvoie par une
exhortation à porter par ses exemples la lumière aux autres et lui dit
ce qu'il a gagné par le baptême et ce qu'il risque de perdre en
trahissant son engagement solennel par une conduite déshonnête.


7) Le baptisé reçoit aussi une médaille aristotélicienne de couleur
bleu cyan, couleur des fidèles Aristotéliciens baptisés, ils pourront
l’utiliser sur leurs signatures afin d’afficher leur engagement
aristotélicien.
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MessageSujet: Le mariage   Sacrements de l'Eglise Aristotélicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:20

Le mariage





I) Aspect dogmatique



Chapitre premier: L'amitié incarnée.



Le dogme de l'amitié aristotélicienne précise:



Citation:
"L'Amitié
Aristotélicienne" au sens large, qui est une communauté de vie: Par le
Baptême chaque baptisé serait introduit dans une union spirituelle en
puissance qui serait donc un contact spirituel avec tous les autres
baptisés. ce point rejoint la notion traditionelle du Baptême qui
introduit dans la communion des Saints.



Cette union spirituelle avec tous les baptisés s'exprime plus
particulièrement entre l'époux et l'épouse dans le cadre du mariage.
Les époux, par un amour pur et désinteréssé, sont appellés à former
cette amitié parfaite qui est le gage de la sainteté aristotélicienne.
A travers cette union si belle des époux c'est Dieu lui-même, source de
tout amour, qui est glorifié.
Ainsi l'amitié aristotélicienne s'incarne particulièrement dans le mariage et y trouve une authentique réalisation.

Le mariage est indispensable à l'amour incarné, car il fonde une
communauté de vie qui débouchera sur la mise au monde d'enfants et la
fondation d'une famille, afin de rendre présente la fécondité de
l'amour. C'est un engagement ferme et fort, dans lequel les époux se
promettent de lutter ensemble contre les germes de haine et de
désordre, par delà les difficultés de la vie quotidienne.



Chapitre deuxième: la sexualité.



Cette dimension du mariage comme union spirituelle ne doit pas
faire oublier que l'union des corps est aussi primordiale, en vertu de
l'amour qu'elle exprime. La sexualité est le moyen choisi par Dieu pour
rendre présente sur terre la fécondité de l'amour, pour assurer la
fondation d'une famille unie et pour souder par les gestes intimes
l'affection des époux.
Cette sexualité ordonnée ne doit pas aboutir à des dérèglements ou la
satisfaction bestiale des sens prendrait le pas sur la volonté
d'exprimer l'amour commun et de le transmettre à une possible
descendance. Le premier but du mariage reste donc de participer à la
création divine par la mise au monde d'enfants. Contrevenir à cela
serait saper les fondements mêmes de l'amitié aristotélicienne dans le
mariage.



Chapitre troisième: le mariage est-il indissoluble?



Etant donné que le mariage est fondé sur la création d'une
communauté de vie et d'une union profonde des époux, il ne peut être
considéré comme une simple formalité qui serait révocable à souhait.
L'union spirituelle des époux n'est jamais une chose acquise et
définitive, il convient de lutter pour la construire et la maintenir.
Ainsi un simple désaccord des époux ne saurait en aucun cas justifier
une séparation. La voie qui mène au paradis est étroite, et demande
bien des sacrifices.

Toutefois un mariage peut-être annulé dans certaines
circonstances, quand l'amitié des époux est rendue impossible par des
actes graves et définitifs. L'annulation de ce mariage ne donne
toutefois pas licence de se remarier, sauf jugement contraire pour
raison exceptionnelles.



pour la réglementation complète voir le droit canon.





III) La cérémonie liturgique.





Il n'existe pas encore de cérémonie type imposée partout, et la
question se pose de sa nécessité. Néanmoins certains points doivent
impérativement se trouver présents dans cette cérémonie:



- La cérémonie est présidée par un prêtre, de préférence le curé de
la paroisse de l'épouse. En cas d'impossibilité, le curé de la paroisse
de l'époux peut aussi officier bien sur.
- Les époux doivent être tous les deux présents. Le mariage par
procuration peut-être célébré dans des circonstances exceptionnelles
avec la permission de l'évêque du lieu.

- Les deux témoins doivent être présents. Un pour le mari, un pour l'épouse.

- Il doit y avoir un échange des consentements de l'époux et de
l'épouse, ainsi qu'un échange d'alliance, symbole de la fidélité et de
l'unité du mariage.



Ces points sont les seuls points
indispensables. Voici en complément un exemple de cérémonie utilisable.
Ce n'est bien sur qu'un exemple, et pas le moins du monde une norme
obligatoire.




Mariage de Y et de X en l'église de Choupinette les bains:



Il y a foule en ce froid matin
d'hiver sur le parvis de la vieille église paroissiale de Choupinette
les bains. Aujourd'hui Y et X, après un long temps de fiançailles, vont
unir leurs destinées, et se donner l'un à l'autre avec la bénédiction
divine. Le curé de la paroisse est à la sacristie, faisant avec soin
les derniers préparatifs de la cérémonie. Entre alors en courant un
enfant de choeur:




"Mon père, mon père! Les voilà!" dit-il en hate, tout essouflé. "Calme toi mon enfant, calme toi. j'y vais tout de suite.



Le curé termine tranquillement de
revêtir les ornements liturgiques, puis sort au devant des fidèles, le
regard rayonnant de joie. Il monte à l'autel accompagné des enfants de
choeur, et s'incline devant la croix du Christ. Se retournant il
descend quelques marches et va saluer la statue d'Aristote. Enfin il
adresse la parole aux époux.




Bien chers Y et X! C'est pour moi une joie immense de vous recevoir
ici, afin que vous receviez des mains de l'Eglise le sacrement qui va
faire votre bonheur. Ne prenez pas à la légère l'engagement que vous
allez déclarer maintenant devant tous. Vous allez vous unir pour le
meilleur et pour le pire, vous allez affronter des difficultés, des
disputes et des tristesses. Mais avec l'aide de Dieu et l'enseignement
d'Aristote, vous allez surmonter tout cela chaque jour, et donner à
tous un exemple d'Amitié et de courage. Que Dieu vous bénisse !



Puis le diacre s'avance et lit un passage de la vie d'Aristote:



Citation:
En
ce temps là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire :
les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le
firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora,
tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux
hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux
dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il
s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre
de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient
à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le
point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait
pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins
écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les
marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.



Le curé repris la parole:



Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de
son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée
par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez
suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se
trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant
vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.



Le moment solennel était arrivé. Les époux se levèrent, le curé s'avança vers eux:



" Y veux-tu prendre X pour épouse, dans la sainteté et la
confiance, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour? Veux-tu
faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de
votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?". " Oui, je le veux.



" X veux-tu prendre Y pour époux, dans la sainteté et la confiance,
pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre
ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un
signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?". Oui, je le veux.



Le curé reprend:



"Je vous déclare maintenant unis par les liens sacrés du mariage. Ce que Dieu a uni, nul ne pourras le désunir."

Citation:





Matrimonium Prohibitem


Nous, cardinaux de la Sainte Eglise
Aristotélicienne réunis en sacré collège par la grâce de Dieu, et nous,
théologues de la congrégation du Saint Office, devant le Très Haut, et
sous le regard d’Aristote, au nom du Souverain Pontife de Sainte Eglise
Aristotélicienne et Romaine,



Rendons officiel notre décision quant à la nature de ce que certains nomment déjà « mariage laïc ». L’union sacrée de l’homme et de la femme est exclusivement dévolue à la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine.
Procéder à une union de ce genre – ou d’un autre ayant vocation à lier
l’homme à la femme et la femme à l’homme – alors que l’on est fidèle
de Notre Sainte Mère l’Eglise est strictement interdit. De même, les
fidèles de la Sainte Eglise ne peuvent demander cette bénédiction,
fut-elle non sacrée.

Tout qui contreviendrait à cette règle se mettrait en porte à faux avec notre dogme, son action serait alors considérée comme blasphème. Dès lors, le fidèle contrevenant s’exposerait à la justice d’Eglise et aux punitions qui suivraient son jugement, définies dans notre Droit Canon.


D’aucun ignorait le caractère blasphématoire de cette pratique. Aussi, cette règle n’a pas de valeur rétroactive. Il est cependant conseillé aux fidèles concernés de faire acte de contrition auprès des autorités ecclésiastiques de leur province ou diocèse.



Ad Majorem Dei Gloriam

Fait à Rome le XXV novembre de l’an de grâce MCDLV de Notre Seigneur

    Sacrements de l'Eglise Aristotélicienne Sceaupapejaune0un
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MessageSujet: L'ordination   Sacrements de l'Eglise Aristotélicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:23

Seule l'ordination est considérée comme un
sacrement à part entière, la consécration et la bénédiction en
découlent simplement, car les trois cérémonies ont pour but de nous
permettre de nous rapprocher du divin.



L’ordination (dogme)



Introduction, qu’est-ce que l’éther.



Chez les anciens, Éther est un dieu primordial de la mythologie
grecque, personnifiant les parties supérieures du ciel, ainsi que sa
brillance (cela nous est resté au travers de la langue poétique
classique, où l'on parle d'éther pour un ciel pur).

Se fondant sur le principe dictant que la Nature a horreur du
vide, Aristote emploie le terme d'éther pour nommer ce qu’il désigne
comme le cinquième élément, composant la sphère céleste, par opposition
aux quatre éléments terrestres classiques (eau, feu, air, terre).



L’éther est donc inaltérable et ne se mélange pas aux autres
matières, c’est l’éther qui est représenté par l’arc-en-ciel qui
conduit l’âme vers le soleil.

L'éther ou " premier corps " (que les scolastiques nommeront " quintessence ") constitue la substance des astres.



Les êtres issus de la création sont finalisés, ils sont soumis aux
lois du Très Haut et tendent à réaliser ce qui est en puissance en eux,
et se définissent à l'intérieur de la nature d'après la perfection de
leur forme ; ainsi en est-il du vivant comme corps animé qui se
hiérarchise selon sa substance formelle.

Le mouvement de la vie est aussi déterminé par l'entéléchie
(étymologiquement " énergie agissante "). Elle est végétative (les
plantes), sensitive (les animaux), ou rationnelle(les humains).



Notre univers est géocentrique, il est divisé en un monde
sublunaire, imparfait, car soumis à la génération et à la corruption, à
la finitude, et en un monde supralunaire, incorruptible, que
représentent les mouvements parfaits des astres autour de la terre.



L'ordination



Le seul moyen pour l’âme de rejoindre le soleil et pour les anges
de venir nous visiter, c’est de se fondre à la quintessence divine. Le
Créateur a donné à Christos le pouvoir d’utiliser l’éther pour
permettre à ceux qui serraient appelés à le représenter sur terre
d’être en contact étroit avec l’éther en étant élevés spirituellement
par l’ordination à la prêtrise.

Seul celui qui a été élevé par l’ordination peut à son tour
transmettre ce privilège à celui qui fait les voeux de suivre l’exemple
de Christos et donc devenir un membre du haut clergé aristotélicien.

Le prêtre est donc forcément ordonné, il a reçu cette élévation
d’un autre prêtre habilité à le faire de par son statut et sa charge
dans l’Eglise.



Défrocage, renoncement à l'élévation de la prêtrise.




Comme le suicide est le rejet du cadeau de la vie, le défroquage
est un renoncement à être proche du Créateur et donc c’est en soit un
geste fort de renoncement à des engagements sacrés.

Le fait de renier sa prêtrise doit être traité comme celui de
renoncer à un mariage, c'est-à-dire que les raisons doivent être
examinées par les plus hautes instances religieuses et le défrocage est
soumis à une acceptation avec conditions.

Par contre si le prêtre renonce unilatéralement à ses voeux il fait acte d'apostasie et de fait est excommunié.



La nomination et la délégation de pouvoir



Une grande partie du clergé de l’Église n’est pas représenté par
les prêtres. En effet, la prêtrise est un don de soi à la communauté et
à notre Créateur et n’est pas l’état normal du statut humain, car
l’état normal est celui de fidèle.

Parmi les fidèles certains désirent servir notre créateur tout en
maintenant leur état de laïc, ils sont soit de bons fidèles, servant
l’a parole Divine à travers leurs différentes fonctions, soit ils
deviendront clercs.

Seuls les cadres de l’Église ou autrement dit son haut clergé sont tenus de s’élever à la prêtrise.



Parmi les fidèles, certains désirent faire partie du clergé, ils
sont donc mandatés dans cette tâche par un membre du haut clergé si
c’est pour les tâches dites religieuses ou par le responsable d’une
congrégation ou d’un ordre romain.



Seuls les clercs ayant une charge religieuse sont intronisés par un
prêtre et reçoivent, de par sa bénédiction, un lien privilégié avec la
quintessence, leur permettant de célébrer les sacrements liés à leur
charge.



La cérémonie de délégation de pouvoir ou d'intronisation religieuse est proche de la cérémonie de consécration.

Elle comporte une partie avec les voeux liés au poste et signalés en général dans le règlement propre à cette charge.

Toute fois, il est important que celui qui va être intronisé
promette de vivre en communion avec les valeurs aristotéliciennes que
Christos nous a transmises tout en respectant ses supérieurs et le
canon de l'Église.

En plus des obligations spécifiques à sa charge, il devra veiller
à aider ceux qu'il peut à suivre la voie vers le paradis tout en
combattant, prioritairement par la parole, toutes les hétérodoxies qui
l'entourent.



Citation:
Après la cérémonie de vœux d’obéissance, la plus ancienne cérémonie se faisait par ces mots



Que le Très Haut protège cet homme/femme des impures et fasse de lui/elle un de tes fidèles !

Que le très saint Aristote, insuffle la Raison dans ses pensées,

Que Notre Créateur le bénisse, car il/elle a choisi de servir à la diffusion de Sa parole !

Que le très saint Christos insuffle la paix dans son cœur et le guide comme il a guidé les Apôtres

Que cet homme/femme devienne le guide des croyants vers la paix, l’amour et le paradis solaire.

Par Christos qui consacra les Apôtres et par le pouvoir qu’il nous a transmis de perpétuer ce geste,

Moi <non et fonction du prêtre>, je te nomme <nom de la
charge religieuse> pour que tu sois le relais de la vraie foi dans
la communauté des fidèles.



<nom du clerc et éventuellement titre>, tu es nommé <nom
de la charge> pour la gloire du Créateur et de son Eglise terrestre.
Désormais tout acte de blasphème fait contre toi serra une injure
envers le Très Haut lui-même.





La bénédiction des choses et créatures.





Grec: (eulogia)

Latin: benedictio



La bénédiction signifie que le clerc appelle la quintessence divine
comme force de salut. Ainsi bénir quelqu'un, c'était le doter d'une
force de salut

Par l'imposition des mains ou l’aspersion d’eau bénite, soulignée
du texte de la bénédiction, le clerc crée un lien entre l’être ou la
chose bénite et l’ensemble de la création lui insufflant une force
tirée de l’éther lui même.

En d'autres circonstances, la bénédiction que des laïcs se
transmettent entre eux correspond à une simple salutation, à l'hommage
que l'on rend au roi ou à la gratitude envers un bienfaiteur.



La bénédiction de Dieu s'adresse toujours à des êtres humains et a
pour objectif d'assurer leur bonheur. Les signes de la bénédiction sont
une longue vie, la fécondité, la paix et la prospérité. Elle rend
fécondes les œuvres que les êtres humains accomplissent de leurs mains.

Donc même si on bénit des animaux ou des objets, c’est l’action
envers les humains, et donc les humains eux-mêmes qui sont bénits.



Voici un exemple de phrase rituelle liée à la bénédiction et qui fut enseignée il y a très longtemps déjà.



Bénédiction



Citation:
Saints
Archanges, qui chantez sans cesse les louanges du créateur de toute
chose, qui ne respirez que la gloire du Très Haut, et qui resplendissez
du feu de son amour, qui présentez au Père les misères et les vœux de
ses Enfants, qui volez à notre secours, bénissez [le truc à bénir].



Saints Archanges, qui nous soutenez dans tous nos justes combats,
qui nous protégez de nous même comme vous avez protégé les justes à
Oanylone, qui portez nos âmes devant notre Juge et Créateur, bénissez
[le truc à bénir].



Que les Saints Archanges et les saints Apôtres Titus et Kyrène,
dont la puissance et l'autorité à notre confiance, intercèdent
personnellement pour nous auprès du Très Haut !



Que par les prières et les mérites des bienheureux de la communauté
aristotélicienne vous apportent la paix, la prospérité, la force et le
salut par la foi et l’amour de notre Créateur.



Et que cette bénédiction permette à la quintessence divine de descendre sur [le truc à bénir] et y demeure à jamais.



Il est de coutume d’intercaler directement une supplication
individuelle à des Archange spécifiques selon la cause finale de la
bénédiction.


Citation:
Saint Gabriel, archange de la tempérance, aide nous à atteindre ce pur idéal aristotélicien de juste milieu.



Saint Georges, archange de l’amitié, guide nous vers les joies d’une amitié aristotélicienne sincère.



Saint Michel, archange de la justice, défendez-nous dans notre combat.
Soyez notre rempart contre la malice et les pièges de la créature sans
nom.



Sainte Galadrielle, archange de la conservation, envoyé du Très-Haut prie pour nous.



Sainte Sylphaël, archange du plaisir, aide nous à profiter des petits plaisirs quotidiens sans sombrer dans l’excès.



Sainte Raphaëlle, archange de la conviction, donne la force d’exprimer notre foi en toute circonstance.



Saint Miguaë, archange du don de soi, guide nous sur le dur chemin
de l’abnégation pour la grandeur de l’église et le service divin.



La consécration des lieux



La consécration.




Un lieu est la frontière interne du réceptacle d'une chose, donc pour consacrer un lieu il faut en premier délimiter ce lieu.

Un lieu a une raison d’être, s’il est consacré sa fonction doit devenir
exclusivement liée au sacré et au service de l’Église. Un lieu ayant
plusieurs raisons d’être ne pourra rester consacré que tant que sa
fonction principale est de servir la vraie foi.


Le Lieu est la cause matérielle, le prêtre et la cérémonie de
consécration représentent la cause formelle et la cause motrice de la
consécration.

La cause finale de la consécration est de renforcer le lien entre
la matière et la quintessence. On lie donc la matière du lieu avec
l’éther, le transformant en église, en chapelle, ou en lieu de
pèlerinage.



La consécration a donc pour but de relier les 4 éléments terrestres avec la quintessence divine.

Il est donc primordial lors de la consécration de les utiliser à bon escient.



- la terre, on répandra des pincées de terres bénites pour délimiter le lieu

- on allumera au moins un cierge représentant le feu, mais aussi le soleil

- La consécration sera faite par aspersion d’eau bénite accompagnée de la prière de bénédiction.



Si la consécration se fait à l’intérieur d’un bâtiment, le prêtre
veillera à faire brûler de l’encens pour relier l’air et l’éther.



Exemple de texte pour une consécration.



Citation:
Que le Très Haut protège ce lieu des impures et en fasse un lieu qui Lui est consacré !

Que le très saint Aristote, insuffle la Raison dans les pensées tourmentées qui visiteront ce lieu,

Que Notre Créateur bénisse ce lieu dédié à la diffusion de Sa parole !

Que le très saint Christos insuffle la paix dans le cœur de ceux qui visiteront ce lieu !

Que ce lieu devienne le nœud principal de notre voyage vers la paix, l’amour et le paradis solaire.

Par Titus qui consacra la première cathédrale, et par le pouvoir qu’il nous a transmis de perpétuer ce geste,

Moi <non et fonction du prêtre>, je consacre ce lieu pour qu’il soit un point d’entrée dans la communauté des fidèles.

Ce lieu est désormais un lieu consacré interdit à ceux qui n’ont
pas la foi ou qui sont exclus de la communauté des fidèles. Tout acte
de blasphème fait en ses lieux serra une injure envers le Très Haut
lui-même.


Les lieux consacrés sont divisés plusieurs catégories.



Les lieux consacrés de fait, les lieux consacrés pour perdurer, les lieux consacrés pour servir de relais provisoires.



Les lieux consacrés de fait.



Le lieu où est enterré un Saint, le lieu où se trouve une relique
sacrée, le sol de Jérusalem, le sol de la résidence du Saint-Père ainsi
que la salle où il se trouve.

Ce sont en général des lieux de pèlerinage où on ressent un lien
très fort avec l’éther et où la communication avec les Saints est
particulièrement perceptible, c’est un lieu privilégié pour ressentir
la puissance de la foi.



Les lieux consacrés par vocation et dès l'origine.



Les églises : construite sur une terre consacrée par autorisation
Saint-Père ou un de ses représentants directs, l’église doit être
distincte de toute autre construction et n’avoir d’autre fonction que
d‘être une église.

L’église reste consacrée même si elle est réduite en cendre et reconstruite.

Les basiliques et les cathédrales sont un type particulier d’église.

Une basilique est un titre honorifique décerné à une église par le Pape et certains privilèges y sont attachés.

Une cathédrale est, à l'origine, une église aristotélicienne où se
trouve l'évêque chargé de s'occuper d’un diocèse. Toutefois, il existe
des cathédrales sans évêque, car le nom cathédrale est conservé une
fois pour toutes.



La fonction de l’église est de servir de pont entre la terre et
l’éther, elle ne pourra donc servir que comme lieu de culte, de prière,
et d’abris pour le clergé ou les fidèles dans le besoin. Son accès est
interdit aux hérétiques et aux apostasiés.



Les autres lieux consacrés.



On y trouve les chapelles, qui ont une fonction proche des églises,
mais sont construites sur une terre non consacrée, et/ou sont
rattachées à un autre bâtiment.

On doit la consacrer avant de pouvoir y officier religieusement,
et si elle reste désaffectée longtemps où elle est pervertie par une
cérémonie païenne ou par la présence d’hérétique elle devra être
purifiée et consacrée à nouveau.



Une chapelle peut également se trouver dans la nature, ou à
n’importe quel endroit délimité de façon visible par le prêtre qui la
consacre.

La fonction de la chapelle est de servir provisoirement de pont
entre la terre et l’éther, elle ne perdra peu à peu son état consacré
dès le départ du prêtre et qu’elle subira une souillure due à une
présence païenne.

C’est pour cette raison que les chapelles où sont régulièrement
célébrée la gloire du Créateur peuvent rester consacrées plus longtemps
qu’un lieu ouvert.
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MessageSujet: Les funérailles   Sacrements de l'Eglise Aristotélicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:23

Les funérailles aristotéliciennes





I) Administration





A) Les conditions



-1) Être reconnu définitivement mort par au moins un médecin et un clerc (Avoir été éradiqué)



-2) Être baptisé ou avoir entamé récemment la procédure en vue du
baptême (au minimum être inscrit aux Archives du Vatican). En ce qui
concerne les funérailles, les catéchumènes sont donc à considérer comme
des fidèles.

Ne pas être sujet à interdiction (voir point C)



B) Le lieu



Pour tout fidèle défunt les funérailles doivent généralement être célébrées dans l'église de sa propre paroisse.

Il est cependant permis à tout fidèle, comme à ceux à qui il
revient de s'occuper des funérailles d'un fidèle défunt, de choisir
pour les funérailles une autre église avec le consentement de celui qui
en a la charge et en informant le propre curé du défunt.

Si la mort est survenue hors de la propre paroisse et que le
cadavre n'y a pas été transporté et si aucune église n'a été
légitimement choisie pour les funérailles, ces dernières seront
célébrées dans l'église paroissiale où la mort est survenue.



C) Les limitations



Doivent être privés des funérailles ecclésiastiques, à moins qu'ils n'aient donné quelque signe de pénitence avant leur mort:

1. les apostats, hérétiques et schismatiques notoires;

2. les autres pécheurs manifestes, auxquels les funérailles
ecclésiastiques ne peuvent être accordées sans scandale public des
fidèles.

3. les suicidés.



Si quelque doute surgit, la sainte inquisition pourra trancher.



D) L'organisateur



C'est au curé de la paroisse que revient la tâche et la
responsabilité d'organiser ce sacrement, en cas d'empêchement ou dans
le cas où il n'y aurait pas de curé ou de diacre, l'officiant peut être
un clerc reconnu par l’église Aristotélicienne et n'étant pas sujet à
interdictions.

Dans le cas de l’enterrement d’un membre du clergé, d’un nobles ou
de personnages importants, le clerc responsable peut demander à son
Evêque ou à un cardinal de diriger la cérémonie.





II) Exemple de cérémonie





jeandalf a écrit:
Enterrement



Pourquoi enterrer nos mort ?



L’Homme fait de terre et d’eau est par nature attiré par le centre
de la terre, mais l’amitié vrai élèvera son âme et si elle est digne de
rejoindre le seigneur elle ne s’enfoncera pas comme le corps vers le
feu des enfers mais au contraire elle trouvera sa vrai nature qui est
de s’élever vers notre seigneur.





1) Le début (soit à la levée du corps, soit à l’arrivée du cercueil à l’église ou au cimetière)



Le prêtre :Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tiens seigneur.

Les fidèle : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).



Le prêtre : Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’et la tienne Seigneur.

Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).



Le prêtre : Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.

Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).



Le prêtre : Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’ami qui nous est cher.

Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.



Tous : Amen



2) A l’église ou au cimetière



A l’entrée se trouve un panier
d’osier avec comme seul objet un médaillon d’Aristote et éventuellement
le présent du prêtre s’il était un ami proche du défunt, les amis
déposeront un fruit ou un pain dans la corbeille. Parfois certains
déposent quelques écus ou d’autres consommable. ( Le contenu de la
corbeille étant distribué aux mendiants après la cérémonie ). Lorsque
tout le monde serra en place, un proche du défunt prendra la corbeille
et une partie des offrandes pour le moment du signe des amis. En
général c’est la même personne qui lira le texte lors du signe de la
mémoire.




Frères, si nous sommes ici, c'est pour entourer de notre amitié une
famille qui est dans la peine. C'est aussi pour nous rappeler que Dieu
se souvient de tout ce qu'il y a eu de bien dans la vie de notre frère
(soeur) et de lui demander de lui faire bon accueil.



Le signe de la lumière

( on allume en silence les cierges autour du cercueil )



Le prêtre : "L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.

Quelle éclaire maintenant la route de < Nom du défunt > qui le (la) conduit maintenant au Royaume de Dieu !"



Le signe de la foi



Le prêtre : :< Nom du défunt >. nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.

Cette croix est le signe qui relie Aristote et le Christ, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle".



Le signe des amis



( l’un des amis du défunt apporte la corbeille de l’amitié )

Le prêtre : < Nom du défunt >,nous déposons ces présent sur
ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de
notre cœur".



Le signe de la mémoire





Cet enterrement nous rappelle plusieurs choses :

- Le souvenir d'un Ami aristotélicien qui vient de nous quitter.
D'un homme ( d'une femme ) qui avait une histoire, unique, avec Dieu.
Qui était entouré de tendresse par Dieu. Qui a fait, ou non,
l'expérience de cette tendresse.

Nous voici nombreux dans cette chapelle, autour de :< Nom du
défunt >., pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a
toujours uni Dieu, qui unit Dieu à chacun de nous, à tout instant.

- La mort viendra pour chacun de nous. pour les uns tôt, pour les
autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans
leur vieillesse.

Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".

Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.

Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre frère ( soeur ) et que Christos intercède auprès du seigneur pour qu’il le reçoive en son Paradis.



Laissons maintenant ceux qui l’on connu parler de lui (elle).



<table align="center" border="0" cellpadding="3" cellspacing="1" width="90%"><tr> <td>Citation:</td> </tr> <tr> <td class="quote">


Là interviennent ceux qui le désirent



</td> </tr></table>







Le signe d’adieu



Le prêtre : Avant de quitter la chapelle, nous allons dire un dernier adieu à notre frère ( soeur ) < Nom du défunt >

Avec respect et affection, confions-le ( la ) à Dieu dans l'espérance de nous retrouver un jour auprès de Lui (ell).





( un instant de silence )






Avec tous ceux qui nous ont précédés et qui vivent déjà auprès du Seigneur,

avec l'immense cortège des saints, nous lui souhaitons un bon dernier voyage à son enveloppe charnelle.





LA DÉPOSITION AU CIMETIÈRE





Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre frère
(soeur) dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles.
Le moment est venu de lui dire "à Dieu".

C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste
forte en nous. car nous espérons revoir N. quand Dieu nous réunira,
dans la joie de son Royaume.

Recueillons-nous en pensant à tout ce que nous avons vécu avec )
< Nom du défunt >, à ca qu'il (elle) est pour nous, à ce qu'il
(elle) est pour Dieu.



( silence pendant la descente du cercueil)



Ensuite prêtre asperge le cercueil d'eau bénite et dit :



"Cette eau, souvenir de ton baptême,

nous rappelle que Dieu a fait de toi son enfant.

Qu'il te reçoive aujourd'hui dans sa Paix !"



(Le prêtre peut dire un mot de condoléances pour terminer et annonce le jour de la Messe communautaire pour le défunt)





fin de la cérémonie par les amis et la familles qui défilant en jetant une poignée de terre dans la tombe.
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