L'Ordre du Phoenix
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 Doctrines de l'Eglise Aristolicienne

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MessageSujet: Doctrines de l'Eglise Aristolicienne   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 11:14

Les deux sources de la foi






  • Chapitre premier: La Révélation divine. Les deux sources de la Foi.



    La Très Haut, qui a crée l'humanité et toute la nature dans un
    mouvement de Son Amour infini, n'a pas voulu que cet humanité soit
    abandonnée aux ténèbres de l'erreur. c'est pourquoi Dieu tout puissant
    s'est révélé a nous.

    Il s'est révélé tout d'abord dans la doctrine lumineuse et les
    enseignements d'Aristote, doctrine dont l'équilibre annonçait de
    manière prophétique l'Enseignement de la Lumière aux hommes et aux
    femmes par Christos.

    L'union de ces deux enseignements donna naissance à la Sainte et Immuable Eglise Aristotélicienne.
  • Chapitre deuxième: harmonie de la Foi et de la Raison:



    Nous croyons fermement que la Vérité est une, et que la Révélation
    de Christos s'harmonise avec la saine intelligence de la nature et de
    l'âme humaine que nous trouvons dans la Doctrine d'Aristote. Foi et
    Raison sont comme les deux facettes d'une même réalité. Cette vérité
    constitue donc un seul ensemble harmonieux d'une grande beauté,
    ensemble qui est comme le reflet de la beauté sublime de l'union
    harmonieuse deux révélateurs de la parole Divine. Par
    Aristote, emblème de la Raison, les pauvres d'esprits apprendront la
    science, et par Christos, porteur de la Foi, les savants progresseront
    dans la sagesse et dans la piété.

    Car la pureté de la Foi dépend de la pureté des idées. Et sans la
    Foi les idées sont vaines. L'équilibre divin trouve là son fondement.




    L'étude de la philosophie et de la théologie doit être développée dans
    cet esprit d'union, et les théologiens seront conscient que de la
    beauté et la pureté de leur doctrine découlera l'image que les fidèles
    se feront de la beauté même de Dieu.

    Ainsi les Livres Saints de la Révélation de Christos et ceux de la
    Révélation du Logos écrits par Aristote devront être lus de concert et
    se complètent mutuellement.
  • Chapitre troisième: Des idées dans l'Eglise.



    Cet équilibre et cette harmonie de la Foi se retrouve dans les membres
    de l'Eglise Aristotélicienne: certains, mystiques par essence,
    cherchent dans l'imitation de Christos la voie de la connaissance.
    Leurs idées les mènent dans les sphères de l'absolu, en contact direct
    avec la divinité. Ce sont eux qui tiennent pour vraies les idées
    suivantes:



    1) Les choses sont des copies des Idées.

    2) La beauté sensible est une image de la Beauté éternelle que l'âme a toujours déjà contemplée.

    3) Le bonheur est une forme de contemplation, que le sage doit s'efforcer d'atteindre.

    4) La métaphysique est la science des causes premières.



    D'autres par contre, confiants en la raison, ont pour maître
    Aristote et suivent sur ses traces la connaissance de la vérité par le
    raisonnement, avec comme fondement de leur Foi les idées suivantes:



    1) L'essence des choses est dans les choses-mêmes, et leur donne forme.

    2) La beauté résulte de certaines proportions et de certaines mesures et rythmes harmonieux.

    3) L'homme sage doit participer à la vie de la cité.

    4) La métaphysique est la science de ce qui est, en tant qu'il est : de l'étant en tant qu'étant.



    Chaque croyant participe plus ou moins de chacun de ces groupes,
    mais tous œuvrent d'un seul cœur à la gloire de l'Eglise et à l'amour
    de Dieu.
  • Chapitre quatrième: Le pouvoir d'interprétation de l'Eglise.



    La Sainte et Immuable Eglise Aristotélicienne est seule qualifiée
    pour interpréter l'enseignement divin. C'est le Souverain Pontife à
    travers la Curie, lui seul, avec ou sans consultation des évêques de
    l'univers Aristotélicien, qui fixe la doctrine de l'Eglise. Toutefois
    il aura garde du dépôt de la Foi, et il devra le conserver avec soin et
    déférence, sans rien changer d'essentiel dans ce que ses prédécesseurs
    auront institués dans le dogme. Il veillera ainsi en bon pasteur au
    maintien de l'unité de la Foi, de l'harmonie de la doctrine, et la
    concorde des croyants.
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MessageSujet: Le statut de Christos   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 11:14

Le statut de christos





Chapitre premier: La nature de Christos



Dans son infinité bonté Dieu tout puissant n'a pas voulu que l'homme resta abandonné à lui même...



Aristote, le grand prophète qui eu accès à la révélation divine, avait
prédit qu’un homme élu de dieu incarnerait l’amitié vertueuse en vouant
sa vie aux autres. « Aimez-vous les uns les autres » allait être sa
devise.

En effet, jusqu'à l'arrivée de ce messie, les règles de la
"solidarité" seront internes à l'ethnie; au-delà de l'ethnie se
trouvent des populations à exploiter.


Cet homme élu de dieu arrivera dans une période de débâcle, manifestera
la volonté d'aller "enseigner toutes les nations" et il aura contre lui
ceux qui refusent cette vision et il comploteront contre lui jusqu'à
vouloir le tuer. L’élu aura le choix entre « rentrer dans les rangs »
ou se sacrifier pour montrer à dieu que l’homme peut atteindre l’amitié
parfaite, vertueuse et unitive jusqu'à se sacrifier pour les autres
sans rien attendre en retour.



Chapitre deuxième: les titres de Christos



Il est messie, guide et miroir de la divinité.



Chapitre troisième: Le Salut.



C'est ainsi que Christos est venu parmi nous, mais la haine qui
obscurcit les esprits aveuglat les hommes, et rejettant le message
d'amour ils le crucifièrent comme on égorge un agneau sans défense.
Lui, aimant jusqu'a la fin, Homme parfait pur de tout péché accepta ce
sort avec humilité, afin de réparer par son sacrifice volontaire les
péchés de tous les hommes passés, présents et futurs et pour établir à
jamais l'amitié entre les hommes et avec Dieu.



C'est donc par ce sacrifice que Christos apporta le salut aux
hommes, afin qu'ils puissent être sauvés en accomplissant les oeuvres
de Dieu, c'est à dire:



L'adhésion à l'Eglise Aristotélicienne qu'il a fondé, la Foi en l'enseignement d'Aristote, et l'union, l'obéissance et l'imitation de Christos, qui est venu sur terre pour donner force et majesté aux enseignements de Dieu consignés dans les livres de la Révélation.
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MessageSujet: Vertus et Pêchés   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 11:15

Considérations générales



Dieu nous a créés à partir de Lui. Nous faisons donc partie intégrante de Lui et notre existence est vouée à le servir.



Ainsi, vivre dans la vertu consiste à vivre comme Dieu le veut. Vivre
dans le péché consiste à nier la volonté divine et donc à nier notre
propre nature divine. Cela revient donc à nous nier nous-même, à
travers la négation de Dieu.



De ce fait, les humains sont naturellement des êtres sociaux, car
vivre en communauté, c’est vivre en accord avec notre statut de
composants de Dieu. C’est dans cette logique que se traduit la
communauté Aristotélicienne, permise par le sacrement du baptême.



Dieu est parfait. Il réunit donc en Lui toutes les vertus, en leur
donnant tout leur sens. Etant à la fois faits d’esprits et de matière,
nous autres humains pouvons tendre vers cette perfection, mais jamais
l’atteindre. Un saint (ou une sainte) se définit donc comme une
personne qui se rapproche de la perfection par la vertu, pas comme une
personne qui l’a atteint, car nous ne sommes pas Dieu.



Le péché absolu serait la négation totale de la nature de Dieu.
Comme tout fait partie de Dieu, cet état de péché absolu est impossible
à atteindre, car ce serait la négation totale de ce que nous sommes.
Personne, pas même Dieu, ne peut atteindre cet état, bien que notre
nature d’être imparfait nous rend capables d’y tendre.



La vertu parfaite, de nature divine, est divisée en sept vertus,
afin que nous puissions plus facilement nous en rapprocher: l’amitié,
la conservation, le don de soi, la tempérance, la justice, la plaisir
et la conviction. A chacune d’elles s’oppose un péché: (respectivement)
l’avarice, la gourmandise, l’orgueil, la colère, l’envie, l’acédie et
la luxure.



Tout être, excepté Dieu, se trouve donc entre chacun de ces
extrêmes. Ainsi, tout être excepté Dieu se trouve entre l’amitié et
l’avarice. Il ne peut jamais les atteindre. Seul Dieu est de parfaite
vertu et personne n’est de pur péché.



Nous ne devons donc pas espérer atteindre la perfection dans une ou
plusieurs vertus, car cela est impossible et donc péché d’orgueil. Nous
devons plutôt rechercher le Juste Milieu entre chaque vertu et chaque
péché.



Le Juste Milieu ne signifie pas un milieu mathématique, à égale
distance de ces deux extrêmes, mais une tendance à se diriger vers la
vertu en étant conscient de l’impossibilité de l’atteindre.



Des vertus et des vices correspondants



L’amitié est la faculté de se préoccuper du sort d’autrui. Elle est
empathie, charité, entraide, réciprocité des rapports sociaux, amour du
prochain… A l’amitié correspond l’avarice, qui est le vice de l’être
dont l’égoïsme n’a d’égal que le mépris de l’autre.



La conservation est la faculté d’œuvrer à sa propre survie. Elle
est la conscience de ses besoins premiers en nourriture, en eau, en
sommeil. A la conservation correspond la gourmandise, qui est l’abus du
plaisir des besoins premiers, vice de ceux qui n’ont pas la mesure des
nécessités de leurs subsistance.



Le don de soi, est la faculté de se sacrifier au profit de la
communauté aristotélicienne et de la république, abstraction faite de
sa propre individualité. Elle est la conscience de faire partie d’un
tout. Au don de soi correspond le vice de l’orgueil, qui est le
sentiment de pouvoir vivre hors de la communauté, ou d’être capable
d’atteindre le statut de divin.



La tempérance est la faculté de se modérer, de suivre la voie du
juste milieu qu’exige sa condition de croyant, de faire preuve de
compréhension à l’égard de ses semblables. A la tempérance correspond
la colère, qui est le vice de celui qui s’abandonne à sa haine de
l’autre, ou qui de toutes ses forces tente de lutter contre sa
condition.



La justice est la faculté de l’être à faire preuve de magnanimité,
à reconnaître la valeur de l’autre, à identifier l’intérêt d’autrui. A
la justice correspond l’envie, qui est le vice de celui qui désire
bénéficier des justes récompenses attribuées à autrui, ou de celui qui
convoite les biens ou le bonheur de son semblable.



Le plaisir est la faculté qu’a l’homme d’œuvrer à réunir les
conditions de son propre bonheur. Elle est la conscience de soi, de son
corps, de son âme, et des besoins de ceux-ci pour rendre son existence
heureuse et facile. Au plaisir correspond l’acédie, qui est le vice de
celui qui entre en dépression spirituelle, qui reste passif, qui n’a
plus goût à la vie, et qui ignore sa propre satisfaction.



La conviction est l’espérance en un avenir plein de promesses. Elle
est plus largement la conscience des besoins et des intérêts futurs de
la communauté des croyants, des nécessités de la conservation de
l’espèce (donc de la reproduction). A la foi correspond la luxure, qui
est le vice de celui qui se complaît dans l’abus des choses de la chair
et dans le nihilisme le plus total.
_________________
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MessageSujet: De l'amitié aristolicienne   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 11:16

incent.diftain a écrit:
DE L'AMITIE ARISTOTELICIENNE



Chapitre Premier





    1) L'Amitié Aristotélicienne,
    selon les principes d’Aristote établis au cours du repas avec
    Polyphilos, ne peut être véritable que si les membres de cette amitié
    sont égaux l’un envers l’autre. L’Amitié aristotélicienne est la
    communauté des baptisés de l’Église. L’on pourrait la représenter par
    un cercle, symbole même de la perfection divine. L'étude du cercle nous
    permet de faire ressortir deux éléments. Le premier, le centre, unique
    et maître de tout, et sa circonférence, sur laquelle tous les points
    sont égaux. Ainsi donc, la communauté aristotélicienne est une
    communauté de personnes ayant en commun leur foi en le Très-Haut et
    étant donc tous égaux devant lui par ce fait même. Le croyant est
    introduit à la communauté par le baptême. Le Baptême, ou rite d'entrée,
    donne au nouveau croyant les prémisses de l'amitié Aristotélicienne
    parfaite. Cette amitié est encore en puissance et demande à être
    développée par un contact avec Dieu dans la prière et les sacrements,
    et aussi par le témoignage de douceur et de compassion avec les autres.
    On peut parler à ce niveau d'une première étape de la vie spirituelle,
    celle des commençants, dans laquelle l'aristotélicien essaye de
    supprimer les vices qui demeurent en lui. On appelle aussi cette voie
    la voie Purificatrice, qui purifie l'âme de ses souillures.



    2) Ensuite vient l'étape des progressants,
    ou voie illuminative dans laquelle l'Aristotélicien, débarrassé de ses
    vices, pratique activement les vertus et développe par là son lien avec
    Dieu et son prochain. Le point central de cette étape sera la pratique
    de la charité fraternelle, et la preuve première de la sainteté devra
    être le rayonnement spirituel auprès des autres. Le but de celui qui
    pratique cette voie est avant tout d'aider ses frères sur le chemin de
    la Vertu.



    3) Enfin nous touchons à l'amitié parfaite, ou voie unitive. Cette
    voie est celle des parfaits. Il faut comprendre que l’Aristotélicien se
    consacre d’abord à Dieu, et que c'est dans une relation privilégiée
    avec Lui que se situe le plus haut point de la spiritualité. Cette
    relation avec Dieu se traduit par une profonde charité pour les autres,
    avec un sens parfait de l'amitié et une force de caractère qui permet
    de montrer aux autres la vérité sans les blesser. Mais cette union avec
    Dieu aura une condition, celle d'avoir une amitié parfaite sur cette
    terre avec un de nos prochains. Ne pourra accéder au titre "d'Ami de
    Dieu", donc de son égal, que celui qui aura concrétisé son aspiration à
    la perfection par une union d'âme avec un autre Aristotélicien.










Chapitre second sur l'Amitié Aristotélicienne: Les rapports avec les pouvoirs publics...





Nous avons dit que plus qu'un sentiment subjectif, l'amitié
Aristotélicienne établie, par la voie du baptême, une communauté de vie
objective entre tous les baptisés, entre les membres de la société
céleste et ceux de la société terrestre. Cet élément a de grandes
conséquences sur le tissu social, et sur la conception que nous devons
avoir de la place de la Religion dans l'organisation temporelle du
monde.


    1) La communion des saints, fondement de toute société.

    Par souci de clarification, nous appellerons cette communauté de vie la "communion des saints."


    Le but premier de l'organisation temporelle des sociétés est de
    mettre en place les structures pour permettre aux hommes le
    développement de toutes leurs facultés matérielles et spirituelles.
    Dans cette optique, une société qui ne serait pas basée sur le concept
    de communion des saints manquerai gravement a son but, puisqu'il lui
    manquerait le stade le plus élémentaire et le plus fondamental de
    l'union entre les hommes et de toute vie sociale aristotélicienne.
    Il en résulte logiquement que pour être pleinement intégrée dans une
    société conforme a l'idéal aristotélicien, il faut être soit même
    membre de la communion des saints, être membre de l'amitié
    aristotélicienne. Ceux qui ne le sont pas ne possèdent pas les bases
    fondamentales de la vie en société, ils sont des déchirures dans le
    tissu social, et comme toutes les déchirures ils risquent de s'étendre
    et de mettre en danger l'existence même de la société.

    On comprend donc la nécessité qui s'impose aux pouvoirs publics, pour
    le bien même de la société qu'ils dirigent, de mettre tout en oeuvre
    pour éviter cette déchirure, car c'est la survie même du tissu social
    qui est en jeu. Les pouvoirs publics auront donc soin de préserver le
    caractère Aristotélicien de leurs administrés, et de soutenir les
    efforts de la Sainte Eglise pour le salut des âmes et la bonne marche
    de la cité de Dieu, sur terre et au ciel.


    2) Du statut des religions partiellement admises.

    Certaines religions, bien que manifestement erronées, possèdent en
    elle quelques graines de vérité. Il s’agit du Spinozisme et de
    l’Averroïsme. Ces religions ( on peine a leur donner ce nom, étant
    donné leur erreur manifeste) on donc un caractère moins nocif que les
    autres erreurs. Il faut donc leur donner un statut à part, que nous
    appellerons « statut de tolérance ». Les membres de ces cultes doivent
    être mis, autant que possible, à l’écart de l’autorité publique, car le
    spectacle de leur erreur aurait des conséquences sur le peuple qui
    serait on ne peut plus néfastes. De plus n’étant pas unis au corps
    social par la communion des saints, ils y aurait un manque manifeste
    dans la cohésion sociale. Il faut donc les tolérer mais pas leur
    laisser le pouvoir.








Chapitre troisième: le rôle de l'amitié dans la conception de la hiérarchie de l'Eglise





Nous avons dit que chaque "aristotélicien" est uni aux autres par un
lien spécial qu'il reçoit dans le Baptême. Ce lien fait de son
existence un chemin vers la lumière, chemin qu'il ne parcourt pas seul
mais en communauté.


    1) L'histoire de la communauté

    Pour quelqu'un qui avance il faut deux choses: la direction et la force
    d'avancer. Nous allons maintenant voir pourquoi la hiérarchie est
    nécessaire pour un Aristotélicien.


    Aristote nous a enseigné il y a près de 1800 ans une doctrine
    complexe, dont le but est de nous ancrer dans le Bien, dans le Beau,
    dans le Vrai. Cet ancrage se fait par la contemplation de la beauté
    éternelle de Dieu, et par la transcription de cette beauté dans les
    choses de tous les jours. Mais après la mort d'Aristote, ou plutot
    après son accession à la gloire de la contemplation, il nous fallait
    des guides qui transmettent fidèlement son message aux hommes de tous
    les siècles et de toutes les cultures. C'est pour cela que vers les
    années 30-35 de notre ère une assemblée de sages se tint à Tarse. Cette
    assemblée réunissait les héritiers de la tradition philosophique
    Aristotélicienne et les disciples de Christos le Sage , avec leur chef
    Paul. C'est cette assemblée qui décida de la fondation d'une
    institution qui unirait les deux traditions dans une même vision,
    faisant ainsi la synthèse des plus beaux enseignements humains et
    divins.
    Cette assemblée fut très vite visiblement assistée de l'Esprit Divin,
    et la religion aristotélicienne se répandit dans tout l'Empire Romain,
    malgré les persécutions que le diable ne manquait pas de mettre sur son
    chemin.
    Mais malgré les vagues de la persécution, malgré le tourment des
    hérésies, l'Eglise garda sa rectitude originelle grace à sa hiérarchie
    soudée.

    2) Le secours divin nécessaire pour le chemin

    Cette constance de l'Eglise de Dieu n'est concevable au milieu de tant
    de vicissitudes que par l'action très sainte de Dieu, par
    l'intercession d'Aristote et des saints de tous les temps, spécialement
    les martyrs qui sont morts pour la gloire et la lumière éternelle.
    Cette aide de Dieu avait un canal: la hiérarchie de l'Eglise.


    En effet dans l'Eglise certains sont appellés à être davantage que
    de simples aristotélicien: ils sont appellés à être les guides de leur
    troupeau, et ils reçoivent pour cela une grace spéciale qui se nomme
    l'ordination. Si le baptême introduit dans la communauté spéciale
    qu'est l'amitié aristotélicienne, l'ordination fait du fidèle croyant
    un membre à part, choisi, élu pour une fonction particulière qui est
    celle de guider les fidèles et d'être le canal de la lumière dans les
    âmes.

    3) la hiérarchie

    Le premier de ces hommes est le Pape, représentant de la lumière divine
    sur terre, celui qui a reçut en dernier recours le droit et le pouvoir
    de trancher toutes les questions religieuse, dans le respect toutefois
    de l'oeuvre de ses prédecesseurs.

    Puis viennent les cardinaux, les hommes illustres qui par leur action,
    leur générosité et la profondeur de leur inspiration par l'Esprit de
    Lumière, ont mérités d'être les instruments de Dieu pour la désignation
    du nouveau pape.


    Les évêques sont les canaux de la grace de Dieu dans les âmes des
    fidèles. Ils sont les pères de leur diocèse et veulent le salut de
    tous.

    Et enfin les curés sont les fidèles assistants des évêques dans cette
    tache difficile de guider les âmes vers la contemplation de la Beauté
    éternelle : Dieu lui même. Le curé est un prêtre qui a reçu une mission
    particulière de l'évêque.


    Les prêtres sans cure sont des auxiliaires précieux, et ils peuvent
    aider les curés dans leur tache, ou bien assister l'Evêque au conseil
    diocésain.


    Les diacres se donnent aussi à Dieu, mais ne reçoivent pas cette
    ordination spéciale. Leur service particulier les poussent d'abord à
    aider dans la gestion matérielle de l'Eglise.








Chapitre quatrième: Amitié et moyens de sanctification.



Nous venons de le voir, la hiérarchie est le canal du secours divin. Ce secours est transmis par ce qu'on appelle la liturgie.



    1) Nature de la liturgie

    Il serait faux de croire que la liturgie n'est qu'un enseignement.
    L'enseignement en est un aspect, mais il n'est pas le seul, loin de là.
    Vous savez que le baptême aristotélicien donne au baptisé un lien
    spécial, lien qui est premièrement un lien de Foi. le rôle de la
    liturgie est de faire augmenter cette Foi. La liturgie est donc une
    nourriture pour la Foi, elle renforce le lien avec l'ensemble de la
    communauté ecclésiale. Le lien de l'amitié Aristotélicienne est donc au
    centre de toute la vie du croyant, et la liturgie est primordiale pour
    la vie de ce lien.



    2) La fonction d'enseignement de la Liturgie.

    Il y a deux voies d'enseignement: le prêche et le sermon lors de la messe.

    Il est bon de distinguer les deux: en effet le prêche permet de
    renforcer la conviction des fidèles et de soi même au niveau des Idées,
    tandis que le sermon leur indique la voie à suivre, et les Idées qu'ils
    doivent cultiver et étendre. C'est à dire que le Sermon montre aux
    fidèles la voie à suivre, tandis que le prêche est le moyen pour
    avancer dans cette voie.


    3) La nature de la Messe

    La Messe est le cadre général dans lequel se déroule le Sermon, mais
    elle n'est pas que cela. Dans la Messe le prêtre transmet aux fidèles,
    par une communication mystérieuse, l'expérience de sa contemplation de
    Dieu. Et plus que cela, il est comme le canal a travers lequel les
    fidèles atteignent Dieu. La pureté de la Foi et des Idées du prêtre
    joue donc un gros rôle: si le canal est impur, comment les fidèles
    verront ils Dieu?


    4) L'Enseignement

    De l’enseignement aristotélicien. L’enseignement aristotélicien
    consiste en le partage de connaissances entre certains clercs aguerris
    et leurs prochains. Ceux-ci perpétuent le culte de l’esprit, toujours
    porté à découvrir, tel qu’expliqué par Aristote. L’enseignement est
    tout aussi vital, sinon plus, que le sermon, puisqu’il permet aux
    clercs de prendre conscience de la vérité, de mieux la comprendre.
    C’est cette compréhension de la vérité qui permettra à quiconque
    d’aider son prochain sur le chemin de la Vertu.



    D'abord fait à l'abbaye Cistercien de Noirlac le 24ème jour du mois de décembre de l'an de grâce 1453 par le Père Lescure

    Mis à jour faite à Rome le 13ième jour du mois d'août de l'an de grâce 1455 par le Père Zabouvski

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MessageSujet: Les 13 aphorismes tirés du livre des vertus   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 11:16

Treize Aphorismes tirés du Livre des Vertus





I. Dieu est un Etre parfait.



II. Il a toujours existé et existera toujours, car il est hors du temps, éternel.



III. Il est le créateur de toute chose, car toute chose paraît par sa pensée.



IV. Il dota les hommes d'un esprit, capable de raison et de sentiments,
afin que, par lui, l'homme éprouve de l'amour pour son créateur.


V. Les humains sont les seuls à comprendre l'amour.



VI. Dieu a permis à la Créature sans nom de tenter les hommes pour éprouver leur amour pour lui.



VII. Ils doivent aussi s'aimer les uns les autres car l'amour est le seul vrai sens de la vie.



VIII. L’homme doit cultiver l’amitié au sein de la communauté aristotélicienne ; ce qui implique de ne pas tuer un autre homme.



IX. Dieu a fait de la vie une merveille pour ceux qui savent la déguster.



X. Tous les hommes sont égaux devant Dieu dont ils sont les Enfants.



XI. Le travail est un don de Dieu, le négliger est un péché.



XII. Après leur mort, les humains vertueux seront envoyés sur le
Soleil, mais les pécheurs iront subir des tourments éternels sur la
Lune.


XIII. Il existe sept princes-démons : Asmodée s’était abandonné à la
gourmandise, Azazel à la luxure, Belial à l’orgueil, Lucifer à
l’acédie, Belzébuth à l’avarice, Léviathan à la colère et Satan à
l’envie et sept archanges : Gabriel faisait montre de tempérance,
Georges d’amitié, Michel de justice, Miguaël de don de soi, Galadrielle
de conservation, Sylphaël de plaisir et Raphaëlle de conviction.
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MessageSujet: Doctrine sur la Mort   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 11:17

Jeandalf a écrit:
    Lors
    de ma retraite dans ma ville natale de Reykjavik, j’ai eu l’occasion de
    voir la mort sous toutes ses formes. L’ayant moi-même été une fois lors
    de mon séjour en Normandie j’en suis revenu avec des questions qui
    m’ont hanté longtemps.
    Pourquoi certains décident-ils de revenir à la vie ? et qu'est-ce qui
    différencie les morts simples aux morts par éradication ? Pourquoi
    certains reviennent-ils à la vie, sans grandes séquelles et d’autres
    complètement transformés ne gardant en commun avec leur passé que leur
    âme et certains de leurs souvenirs ? .

    J’ai donc passé plusieurs jours de retraite plongés dans les textes
    religieux ou philosophiques et certains livres de médecines.

    La première question était de définir ce qui différencie la simple mort de la grande mort que certains nomment éradication.

    Il faut bien sûr différencier l’éradication du corps avec celle dont on
    parle dans les textes de l’Éclipse et qui est l’éradication du lien
    entre la vie terrestre et la vie divine ou maudite.

    J’ai longuement discuté avec le docteur House, médecin épiscopal de
    Reykjavik et un ami personnel. Pour lui ce qui différencie le vivant du
    mort est sa chaleur.
    Il se base d’ailleurs sur les écris de notre prophète Aristote qui a
    défini que dans le domaine de la biologie, la chaleur est liée à l’idée
    de vie et le froid à celle de mort. Aristote détermine des différences
    qualitatives dans les couples opposés. Ainsi, définissant que le soleil
    est chaud et représente l’espoir et le bonheur, ce qui est supérieur à
    tout. Alors que la Lune est froide et représente le désespoir et la
    mélancolie, il définit en même temps la supériorité du chaud sur le
    froid et donc de la vie sur la mort.

    Lorsque l’ont meurt simplement sans interventions divines le corps se
    refroidit et se rigidifie, par manque d’énergie vitale, s’il est bien
    préservé, il est très courant de voir la vie lui revenir peu à peu, et
    ne laisser que des séquelles mineures, car la transition a été douce
    entre l’état de vie et l’état de mort.

    Un moment la froideur du corps est tel que l’âme elle-même ne peut plus
    lui redonner vie sans subir de profondes séquelles, on dit alors que le
    corps terrestre est éradiqué, on pourrait dire pratiquement que
    personnage n'existe plus. D’ailleurs certain utilisent la formule «ce
    personnage n'existe pas, ou plus, ou pas encore »
    C’est tiré d’une ancienne prière de funérailles :


    Je prie pour toi qui n’existes pas à nos côtés

    Toi mon ami qui n’existe plus sur terre

    Tu existeras où le Créateur veut que tu sois.


    La mort est donc la perte de chaleur totale du corps, entraînant un
    froid qui rigidifie le corps comme il gèle nos lacs en hivers. Il
    semble donc qu’en général l’éradication soit le point de non-retour,
    celui où l’on n’existe plus en temps que créature vivante.
    Pourtant, il semble que dans de très rares cas certains soit passé de
    l’état de vie à l’état d’inexistence sans passer par l’état de mort ou
    en ayant eu une perte de chaleur extrême. voir la destruction du corps
    lui-même...
    Qu’en est-il de la liberté d’accepter ou pas le jugement divin dans ce
    cas là ? ça reste une énigme pour moi, mais il existe des témoignages
    où l’âme a retrouvé, ou reçu, un autre corps pour exister à nouveau...

    Il semble effectivement que des témoignages plus ou moins fiables
    montrent qu'il y a eu des cas que certains considèrent comme une
    réincarnation. Des témoins semblent affirmer que la personne revienne
    sous un profil assez différent et soit très diminuée physiquement et
    intellectuellement et qui plus est que seuls ses proches ne la
    reconnaissent par delà ces différences.
    Si ces faits étaient avérés, comment faire la différence entre une
    résurrection malgré éradication du corps et une simple usurpation
    d’identité ?

    Analysons les choses concrètement.


    1) Il est reconnu que nulle matière ne peut survivre sans énergie et
    que nulle créature ne peut vivre sans une âme et vice versa.
    2) Il est reconnu que le temps limite de survie d’une âme sans le corps est d’environs 10 jours.

    3) Il semble acquis et indéniable que tout n’est pas explicable et que la volonté divine est supérieure aux lois de la vie.

    4) Il est couramment acquis également que les lois de la physique et
    les lois divines ne sont pas modifiées par Notre Créateur, car en les
    changeant, Il modifierait toute la création et donc si tout ne se
    modifie pas c’est que rien n’a été modifié.

    Donc je pense qu’il ne faut pas continuer à rejeter ce que nous ne
    comprenons pas et que si nous tenons compte des faits et de la logique
    comme nous l’a appris nos prophètes : nous ne pouvons déterminer si
    celui qui ne semble pas être celui qu’il prétend être dit la vérité
    sans un minimum de questionnement.

    Je propose par contre une plus grande fermeté sur le suivi des
    funérailles et sur la définition de ce que l’Église considérera comme
    une personne n’existant plus pour notre monde.

    Je par exemple la mise en place dans le droit canon de règles fermes à ce sujet.

    Les funérailles aristotéliciennes, par lesquelles l'Église procure aux
    défunts le secours spirituel et honore leurs corps en même temps
    qu'elle apporte aux vivants le réconfort de l'espérance, doivent être
    célébrées selon les lois liturgiques.

    Il faut que l’éradication de la vie soit confirmée par un clerc ou un
    médecin reconnu par Rome. Par éradication de la vie on entend que le
    corps ne peut être plus froid et moins vivant et qu’il est impossible
    que l’âme puisse en reprendre possession de quelque manière que ce
    soit.
    La cérémonie de mise en terre devra se faire uniquement après cette
    constatation et après une messe selon le dogme pour confirmer
    l’éradication du lien entre l’âme et le corps du défunt.
    La cérémonie devra être suivie d’une inscription sur un registre des
    défunts avec le témoignage des proches et si possible, pour les
    personnes en ayant les moyens, un portrait représentant le profil du
    défunt sera joint au registre.
    Selon les moyens des proches et les coutumes locales, une stèle avec le portrait du défunt serra érigée sur la tombe.


    Si tous ces points ont été respectés, l’Église considérera que le
    personnage en question n’existe plus en dehors de la mémoire
    collective, et dans le cœur de ceux qui l’ont connu.

    Si une personne, même avec un profil différent venait à prétendre être
    vivante alors que la croyance populaire le considère décédé, l’Église
    n’aurait pas à se prononcer sur la véracité ou pas des faits, si
    l’éradication de l’âme n’a pas été faite dans les règles établies.
    Par contre si une annulation de mariage le concerne, elle reste valable
    puisque le droit prévoit la séparation en cas de disparition. Le
    survivant, car on pourra le nommer ainsi s’il est reconnu par les siens
    et la justice laïc, devra se faire bénir après s'être confessé et avoir
    été absous. Il renouvellera ses vœux de baptême par ce fait retrouvera
    son statut de fidèle parmi la communauté des croyants. S’il était
    prêtre, il devrait également renouveler ses vœux.

    Par contre si les funérailles ont eu lieu dans les règles, il ne pourra pas être reconnu comme un survivant.


    En effet si une personne est déclarée morte par l'église, que le corps
    a bien été identifié et que les funérailles ont eu lieu dans les
    règles, et cela quelque soit les conditions d'un éventuel retour de la
    personne elle ne bénéficierait plus des sacrement et titre donné par
    l'église, car une survivance est une autre naissance, pour autant que
    cette survivance soit réelle et non une mascarade.
    Mais pour la vie laïque du survivant l'église n'a pas à se prononcer et
    c'est à la loi des cités de trancher, car notre mission est de protéger
    l'humanité en sauvant les âmes.
    Bien entendu pour que ceci puisse se réaliser sans complication
    inutile, il faudra garder en lieu sur un témoignage des funérailles et
    un registre des morts.


    Voilà j’espère que mes recherches et mes réflexions permettront
    d’éviter bien des conflits et faciliter le retour parmi nous des rares
    survivants que nous croisons.


    Jeandalf, depuis Reykjavik en octobre 1455.
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MessageSujet: Le cantique des idées   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:25

Les cantiques des idées, de Timviking.



Sur l'Être Divin qui est Tout Puissant:



J'ai longtemps habité une grotte platonique

Que des ombres mouvantes hantaient comme un château

Et dont les cavités obscures et noir corbeau

Rendaient pareil le soir au jour, le cap au pic.



Mes yeux en zyeutant ce fort troublé tableau

Mélaient d'une facon païenne et cathartique

Le Tout Puissant, le Juste, l'Amour métaphysique

Aux accords dissonnants rapportés par l'écho.



C'est là que j'ai compris, dans une volupté calme,

Grâce à l'Être Divin, l'Universel Moteur,

Que ces spectres fuyants qui me glacaient le coeur



N'étaient que viles pensées, du vent souflant des flammes,

Et qu'en raisonnant bien, assumant le bonheur,

Je trouverai la Voie, l'éclatante Lueur.




Sur l'essence des choses:



Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant

D'une chose inconnue, et que j'aime, et qui m'aime

Et qui n'est chaque fois, ni tout à fait la même

Ni tout à fait une autre, que j'aime et je comprends.



Car elle me comprend, essence illuminant

Par elle seule, divine ! La chose est la chose-même !

Par elle seule, et sa forme dans la lumière blême,

Elle seule se sait faconner, en dansant.



Est-elle chose essentiellement ? - Je le sais.

Sa forme ? - Je me souviens qu'elle est belle, mesurée,

Comme celle des beautés que Dieu proportionna.



Son aspect est pareil à l'aspect de l'eau pure,

Et par son chant si clair et calme et grave, on a

L'impression que son chant recrée la chose, sûr !




Sur la métaphysique:



Elle est retrouvée.

Quoi ? - La Métaphysique.

C'est bien l'Être allé

Avec la science.



Âme Éternelle

Proclamons le Vrai:

Quand la science est belle,

Ce qui est est.



Des humains volages,

Des communs penchants,

Là tu nous soulages

En tant qu'étant étant.



Puisque de toi seule

Science de l'étant

La vérité s'exhale

Sans qu'on dise: pourtant...



Là pas d'espérance,

Nulle procédure.

Science avec patience,

La sagesse est sûre.



Elle est retrouvée.

Quoi ? - La Métaphysique.

C'est le Bien Être allé

Avec la science.




Sur la sagesse:



Je veux mourir pour tes beautés, Sagesse,

Pour ce bel oeil qui sait voir le destin,

Pour ce doux ris, pour la Cité enfin

De pierre et de bois, de la vie la Maîtresse.



Je veux mourir pour cette forteresse,

Pour les légumes de ce bien beau jardin,

Pour la rigueur de cette Juste Main,

Qui soigne les gentils, et les méchants blesse.



Je veux mourir pour le bon entretien

De cette mine dont le produit devient

Économie, cette richesse dispose.



Je veux mourir aristotélicien,

Donnant mon sang, la Cité défendant,

Protégeant la vie de la belle chose




Sur la Beauté:



Mon enfant, ma soeur,

Songe à la douceur

De la parfaite hémistiche

Aimant la mesure

Céleste césure,

Faisant pâlir le pastiche.

Les vers ciselés

Bien proportionnés

Pour mon esprit ont les charmes

Si harmonieux

Du plus haut des Cieux

Brillant à travers tes larmes.



Là tout n'est qu'ordre et beauté,

Paix, foi, et volupté.



Les divins présents,

Créés du néant,

Qui précédait notre monde;

Les plus rares fleurs,

Leur terre, rondeur

Et les cercles purs de l'onde,

Les riches buissons,

Océans profonds,

La splendeur virginale,

Tous nous parlent en fait

À l'âme en secret

Sa belle langue natale.



Là tout n'est qu'ordre et beauté,

Paix, foi, et volupté.



Vois sur ces batârds

S'écraser le hasard,

la chaotique ironie,

Car pour assouvir

Leur moindre désir,

Ils ont brisé l'Harmonie.

La beauté résulte,

Le bonheur exhulte

De nos rythmiques prières

Et du nombre d'or,

l'Éternel effort

Fait rejaillir la Lumière.



Là tout n'est qu'ordre et beauté,

Paix, foi, et volupté.




Pour célébrer le Seigneur dans la bonne humeur! Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_wink
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MessageSujet: La Pastorale Partie 1   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:34

Zabouvski a écrit:
Partie 1 : Les Vertus



Ces cours ont été réalisé à Rome par le Vice-Préfet à l'Enseignement, le Père Abbé Zabouvski.



L'objectif de tout aristotélicien pour
sa vie terrestre est d'atteindre le soleil, le paradis. Tel que nous
l'a enseigné Aristote, un des prophètes de la religion
aristotélicienne, le Très-Haut, Dieu, a donné l'esprit à l'humain pour
que celui-ci soit capable, à l'instar des animaux, de distinguer le
bien du mal. C'est cette capacité à distinguer le bien du mal qui nous
permet de vivre la vie vertueuse qui nous permettera de rejoindre le
soleil. Toutefois, une autre créature de la création, la Créature Sans
Nom, jalouse de ne pas avoir été choisie pour être la préférée de Dieu,
voue son existence à pervertir l'homme par les vices et à l'éloigner du
soleil pour l'emmener sur la lune, en enfer. Tout aristotélicien
voulant éviter la lune se doit de connaitre les vertues, et leurs
contraires, que voici :






L'amitié,qui
consiste à se préocupper des autres, à avoir de l'empathie et à faire
preuve de charité. L'amitié est ce qui lie tous les aristotéliciens.
Par l'amitié, le croyant aide ainsi ses frères sur le chemin de la
vertu. l'amitié est aussi entraide, réciprocité des rapports sociaux,
amour du prochain, etc... L'avarice, son contraire, consite à ne se
préoccuper que de soit et elle n'a d'égal que le mépris de l'autre.



La conservation,
qui consiste à oeuvrer à sa survie. La conservation est la conscience
de ses besoins premiers en nourriture, en eau, en sommeil. En d'autres
mots, la conservation est la faculté de se contenter de ce que l'on a
de besoin. Le contraire de la conservation est la gourmandise, qui
consiste à n'être jamais satisfait de ce que l'on a, à toujours vouloir
plus, ce qui ne peut que pénaliser les autres qui vont venir à manquer.
La gourmandise se résume à l'abus de plaisir.



Le don de soi,
qui est la capacité de se sacrifier pour le bien d'autrui, que ce soit
pour le reste de l'amitié aristotélicienne ou pour la société laïque,
la république. Ce sacrifice est la conscience de la vie en communauté.
Comme nous l'a aussi enseigné Arisote, le bon aristotélicien est celui
qui aide son prochain en participant à la vie de sa ville. À l'opposé
du don de soi se trouve l'orgeuil, qui consiste à croire que seul nous
pouvons nous élever au dessus de tous et d'atteindre le statut de
divin.



La tempérance,
qui est la capacité du croyant à se modérer et à faire preuve de
compréhension. Cette vertue est primordial dans la mesure ou elle est
complémentaire des autres. La tempérance consiste aussi en
l'acceptation de sa condition. Son contraire est la colère, qui est le
vice de celui qui s’abandonne à la haine de l’autre, ou qui de toutes
ses forces tente de lutter contre sa condition.


La justice,
est la faculté de l’être à faire preuve de magnanimité, à reconnaître
la valeur de l’autre, à identifier l’intérêt d’autrui. A la justice
correspond l’envie, qui est le vice de celui qui désire bénéficier des
justes récompenses attribuées à autrui, ou de celui qui convoite les
biens ou le bonheur de son semblable.



Le plaisir,
est la faculté qu’a l’homme d’œuvrer à réunir les conditions de son
propre bonheur. Elle est la conscience de soi, de son corps, de son
âme, et des besoins de ceux-ci pour rendre son existence heureuse et
facile. Au plaisir correspond l’acédie, qui est le vice de celui qui
entre en dépression spirituelle, qui reste passif, qui n’a plus goût à
la vie, et qui ignore sa propre satisfaction.



La conviction,
est l’espérance en un avenir plein de promesses. Elle est plus
largement la conscience des besoins et des intérêts futurs de la
communauté des croyants, des nécessités de la conservation de l’espèce
(donc de la reproduction). A la foi correspond la luxure, qui est le
vice de celui qui se complaît dans l’abus des choses de la chair et
dans le nihilisme le plus total.





Une vie vertueuse parfaite est
virtuellement impossible. Nul, en dehors du divin, n'est parfait.
Toutefois, l'aristotélicien vertueux est celui qui reconnaitra ses
fautes et demendera le pardon à ses pairs par la confession. La
confession sera expliquée dans le troisième volet de ce catéchisme.








Père Zabouvski



Citation:
Les douze préceptes de Saint-Benoît



1) Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement.

2)Son Saint Nom tu respecteras, fuyant blasphême et faux serment.

3)Le jour du Seigneur garderas, en servant Dieu dévotement.

4)Tes père et mère honoreras, tes supérieurs pareillement.

5)Meurtre et scandale éviteras, haine et colère Identiquement.

6)La pureté observeras, en tes actes soigneusement.

7)Le bien d'autrui tu ne prendras, ni retiendras injustement.

8)La médisance bannira, et le mensonge également

9)En pensées, désirs, veillera à rester pur entièrement.

10)Bien d'autrui ne convoiteras pour l'avoir malhonnêtement.

11)Foi et Raison te guiderons simultanéement.

12)Seuls Aristote et Christos tu loueras, évitant les faux prophètes.
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MessageSujet: La Pastorale partie 2   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:35

Zabouvski a écrit: Partie 2 : La Spiritualité



La foi aristotélicienne comprend aussi
une part de spiritualité, dans laquelle le fidèle fait preuve de sa foi
envers l'être supérieur, divin et immatériel puisqu'au-dessus de tout.
Le fidèle aristotélicien va chercher les sources de sa spiritualité
dans les textes saints qui racontent et expliquent l'origine du monde,
l'existence du Très-Haut, les bases de la vie vertueuse, etc. Ces
textes saints sont compilés dans le Livre des Vertus. Voici un bref
survol de l'ouvrage :






Livre 1 : Le Mythe Aristotélicien



La création,
raconte comment le Très-Haut créa le monde par une simple pensée. Il
raconte et explique les principaux éléments physiques de la vie. La
création raconte aussi comment les créature voulues par Dieu prirent
conscience du monde créé pour eux et comment et pourquoi, au terme
d'une réunion de toutes les espèces, l'homme fut choisi comme créature
préférée de Dieu.



La pré-histoire,
raconte comment un homme, Oane, qui avait assisté à la réunion, décida
de créer une ville où tous les hommes pourraient s'aider et mener la
vie voulue par le Très-Haut. Malheureusement, l'histoire nous raconte
que les hommes se détournèrent peu à peu du message divin promulgué par
Oane et s'adonnèrent au péché. Le Très-Haut, chagriné de cette telle
bassesse de la part de hommes, décida de punir les hommes en détruisant
Oanylone. Les 7 homme les plus vertueux, qui avaient demandé le pardnon
divin, devinrent les archanges tandis que les 7 hommes qui s'étaient
adonnés le plus au péché devinrent les 7 démons. Les autres survivants
s'éparpillèrent.



L'éclipse,
est un texte écrit par un certain Sypous qui, en songe, aurait vu la
lune et le soleil. Ces textes nous décrivent la vie après la mort menée
par les vertueux par rapport à la vie à laquelle ceux qui se sont
adonnés au péché de leur vivant sont condamnés.



La fin des temps,
est un texte écrit par un certain Ysupso qui, en songe toujours, aurait
vu la fin des temps, durant laquelle le Très-Haut aurait détruit
l'humanité par la foudre, le feu et la terre. À la fin, le Très-Haut
serait apparu à Ysupso et lui aurait dit que ce rêve n'était
qu'hypothétique et que cette fin des temps n'arriverait que si l'humain
s'adonnaient trop aux péchés.





Livre 2 : La Vita des Prophètes



La Vita d'Aristote,
raconte la vie d'Aristote, qui naquit dans une famille grecque et
devint l'un des plus éminents prophète de notre religion. Très tôt, le
Très-Haut le confronta à l'impossibilité de l'existence de plusieurs
divinités. Aristote fut alors capable d'affirmer que seul un dieu
unique pouvait exister. Avec son précepteur, Épimanos, Aristote a aussi
été capable de prouver que l'humain avait un esprit. Il partit donc
pour Athènes apprendre auprès d'un des plus grand maitre, Platon.
Platon était d'abord très heureux qu'Aristote fut un disciple aussit
brillant, mais les deux philosophes de disputèrent au sujet des idées.
Plus tard, Aristote, qui avait déjà prouvé hors de tout doute
l'existence de l'esprit, a prouvé la nature sociable de l'homme et a
affirmé que l'homme sage devait participer à la vie de la cité. Ses
conclusions sur l'amitié faite au cours du repas avec Polyphilos sont
aussi très remarquables.



La Vita de Christos,
raconte quant à elle la vie de Christos, choisi par le Très-Haut comme
messie, qui naquit par la grâce du Très-Haut à Bethléem en Judée et fut
tout de suite pourchassé par le roi Mistral. La famille de Christos
fuit alors vers Chypre et ne revint en Judée qu'à la mort du roi. Plus
tard, Christos entreprit une retraite dans le désert où il rencontra la
Créature Sans Nom. Christos eut le dessus sur elle et elle disparut.
Revenu en Judée, alors sous contrôle romain, il commença à prêcher et
très vite plusieurs se mirent à le suivre. 12 de ses suivants, autant
d'hommes que de femmes, se démarquèrent par leur foi et devinrent les
12 apotres. Plus tard, Christos chargea Titus de créer une Église
autour du message divin apporté par Aristote et par Christos lui-même
pour mieux diffuser le verbe du créateur. Plus Christos devenait connu
et respecté, plus la foi aristotélicienne gagnait du terrain, jusqu'à
même ammener un centurion à demander le baptême. Un jour, au cours d'un
repas mémorable au cours duquel Christos célébra l'amitié
aristotélicienne, Daju, l'un de ses apotre, le trahi. Les romains
vinrent alors chercher le prohète, qui fut condamné à la crucifixion
par Pierre Ponce, qui mourut sur la croix et s'éleva au paradis. Les 21
logions de Christos sont 21 citations remarquables du prophète. Une
légende voudrait qu'une abbaye française détienne un document contenant
les 21 logions originales et non-censurées.





Livre 3 : Les Archanges et les Saints Aristotéliciens



Le troisième livre raconte la vie de tous les saints
aristotéliciens de toutes les époques. Les canonisés sont ceux qui sont
devenus saints après le renouveau de la foi.



Livre 4 : Doctrines, Sacrements et Prières de l'Eglise Aristotélicienne



Le quatrièment livre explique la célébration des sacrements tels
que le baptême ou le mariage. L'on y trouve aussi les doctrines qui
explique les sources de la foi ou encore le statut de Christos, par
exemple. L'on y trouve aussi le crédo et le cantique des idées.





Tous ces éléments devraient faire de
vous un excellent aristotélicien, un aristotélicien qui mène d'abord sa
vie vertueuse en société et qui mène aussi sa vie spirituelle autour de
la louange du Très-Haut. Puisse le Très-Haut vous illuminer et guider
vos pas.
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MessageSujet: La Pastorale Partie 3   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:35

Zabouvski a écrit: Partie 3 : Profession de Foi



Le fidèle en quête du paradis solaire
peut s'assurer de mener une vie vertueuse par moultes actions
différentes. Certaines de ces actions vous seront présentées et
expliquées dans ce dernier volet.




Le Credo,
est le texte fédérateur de notre Eglise, il est là pour faire grandir
notre foi en notre coeur. Cette prière affirme notre foi et la crie au
monde: il est le signe de notre union de croyants aristoteliciens. Il
illustre aussi le dogme et le résume en quelques mots. Tous les
aristoteliciens doivent le connaître. Le fait de réciter son crédo est
un acte qui assure au Très-Haut que vous vous maintenez avec force sur
le chemin de la vertu. Ce crédo doit être reconnu en préhalable au
baptême, est est primordial pour toutes les cérémonies.



Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,

Créateur du Ciel et de la Terre,

Des Enfers et du Paradis,

Juge de notre âme à l'heure de la mort.



Et en Aristote, son prophète,

le fils de Nicomaque et de Phaetis,

envoyé pour enseigner la sagesse

et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.



Je crois aussi en Christos,

Né de Maria et de Giosep.

Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,

Il est mort dans le martyr pour nous sauver.

Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.



Je crois en l'Action Divine;

En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;

En la communion des Saints;

En la rémission des péchés

En la Vie Eternelle.



AMEN



La Confession,
est l'acte par lequel le fidèle ayant commis un impair peut se faire
pardonner. Dieu est conscient que l'Homme n'est pas parfait, sans quoi
il serait Dieu, toutefois, il reconnait que l'âme qui s'assume au cours
d'une confession sincère et profonde est une âme pure. Ceci dit, pour
s'assurer le pardon divin, le fautif devra peut-être faire acte de
pénitence (voir plus bas). Tous les prêtres peuvent recevoir les
confessions et ne peuvent en dévoiler le contenu sous peine de
défrocation. Certains curés incitent aussi leurs paroissiens à
confesser intérieurement au Très-Haut avant chaque messe.



Citation:
Je
confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes
Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur
pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la
rémission de tous nos péchés.



La Pénitence,
est le statut dans lequel se place volontairement le pêcheur s'étant
confessé pour s'assurer le pardon divin. Différents moyens de pénitence
sont le jeune, le pélerinage ou encore la charité (des explications sur
ces actions seront données plus bas).



Le Jeûne,
est l'acte par lequel le pénitent ou le simple fidèle se prive de
nouriture ou se limite à un repas de base pour un certain temps, se
mettant ainsi aux niveau des plus faibles, pour prendre ainsi
conscience de la misère humaine que combat l'Église. Le jeûne tire son
origine de la méditation de Christos dans le désert.



La Charité,
est un acte de vertu que doivent pratiquer tous les aristotéliciens.
Elle consite à aider ses frères aristotéliciens sur le chemin de la
vertu. Elle se par l'aide aux vagabonds perdus dans les méandres du
jeu, l'offre d'un salaire supérieur au minimun légal à ses employés, la
vente à des prix non prohibitifs de sa production et le refus d'une
spéculation à outrance. Chacun agit dans ce domaine en âme et
conscience.



Le Pélerinage,
est l'acte de parcourir les royaumes pour prendre conscience de la
création. Le pélerinage permet, en plus d'être une preuve de foi forte,
de prendre contact avec d'autres frères aristotéliciens et ainsi de les
aider. Le pélerinage tire ses origines vraisemblablement de la
recherche d'Aristote de la cité idéale.



La Sainteté,
est le statut auquel aspirent tous les aristotéliciens. Certains
fidèles ont accédé à ce statut par leur respect presque immaculé des
pincipes aristotéliciens. Ces saints ont encore au soleil le pouvoir
d'influencer certaines choses de la création, il est donc important de
les considérer et de les louer. Ceci dit, on ne peut louer les saints,
et encore moins le Très-Haut, pour sa propre réussite matérielle. La
lecture des hagiographies des différents saints et de régulières, mais
toujours sincères, prières sont conseillées.





Il est important se savoir que l'Église ne sanctionne pas, même prohibe, l'ermitage.
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MessageSujet: La Pastorale Partie 4   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:36

Partie 4 : Le Droit Canonique



Le Droit Canon est en quelque sort
l’ensemble des lois qui régissent l’organisation de l’Église
Aristotélicienne. Elles ont été établies par la Curie sur l’inspiration
des enseignements des prophètes Oane, Aristote et Christos. Ces lois
servent à maintenir un minimum d’ordre, permettant ainsi à l’Église
d’évoluer et aux fidèles de parcourir le chemin de la vertu en paix, et
ainsi gagner le paradis. Le respect du Droit Canon est primordial. En
voici les grandes lignes et les articles qui concernent le croyant
lambda.




Les Statuts,
décrivent les statuts ainsi que leur appellation. Il existe au sein de
l’Église 4 statuts, soit l’hétérodoxe, qui est le statut de celui qui
ne reconnaît pas le dogme aristotélicien ni son droit canon ou encore
qui a été excommunié, le croyant, qui est le statut de celui qui croit
et qui reconnaît le Droit Canon, mais ne fait pas encore partie de
l’Église, le fidèle, qui est le statut du croyant ayant été admis au
sein de l’Église par le baptême, et finalement, le prêtre qui a reçu le
sacrement de l'ordination et a prononcé les voeux.



Le Baptême,
est l’acte par lequel un croyant fait son entrée dans la communauté des
fidèles. Pour être admissible au baptême il faut être croyant, adulte
sain d’esprit et prêt à comprendre l’engagement et en avoir fait la
demande explicite. Pour le baptême des enfants, un parrain sera
nécessaire puis une confirmation sera souhaitable lorsque le baptisé
aura atteint l’âge adulte. Le parrainage est hautement souhaité mais ce
n'est pas une obligation, à part pour les reconversions. Toutefois la
personne faisant office de parrain ou de marraine doit être baptisée et
non sujet à interdictions. Pour être valide, le baptême doit avoir été
célébré dans un lieu de culte autorisé et par un clerc ayant toutes les
permissions requises.



Le Mariage,
est l’acte par lequel deux fidèles décident d’unir leurs destinés pour
vivre à deux le chemin de la vertu ainsi que pour procréer et donc
perpétuer la création. Les deux mariés doivent absolument avoir été
baptisés avant la primordiale publication des bans quinze jours avant
la cérémonie. En dehors de rares cas d’exceptions tels que
l’éventualité que la mariée soit enceinte, la publication des bans et
la période de 15 jours est de la plus haute nécessité et non
négociable. Les mariés doivent aussi être accompagnés au minimum de
deux témoins, baptisés pour la cérémonie. Le remariage est impossible,
sauf si un des mariés meurt ou est excommuniqué ou si le mariage n’a
pas été consommé. Seul un cardinal peut annuler un mariage.



La Justice d’Église,
est l’ensemble des peines et des procédures que l’Église peut exercer.
Il existe à Rome deux tribunaux, soit le tribunal pontifical et la
haute cour ecclésiastiques. Il existe aussi dans la plupart des
diocèses des officialités épiscopales. La Justice au sein de l’Église
est du ressort de l’Inquisition.
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MessageSujet: La Pastorale Annexe 1   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:37

jerem51 a écrit: Vie de Christos



Christos, né sous le nom de Jeshua, est le fils de pauvres vagabonds
vivant dans la vertu et purs de toute luxure, Giosep et Maria.
Il vit le jour à Bethléem, en Judée, dans une bicoque délabrée, où les
habitants apportèrent de quoi améliorer l'ordinaire et rénover la
bâtisse, tant la grâce de l'enfant les avait touchés.
En effet, il avait été choisi par Dieu, avant même sa naissance, et
alors que ses parents n'étaient pas encore mariés, pour être le Messie,
celui qui porterait la parole de Dieu partout et sauverait le peuple de
ses péchés en leur enseignant la sagesse d'Aristote.
Mais un jour, Maria se prit de querelle avec la favorite du roi Mistral
IV et lui révéla le secret de la naissance de Jeshua. Alors, prévenu
par un envoyé de Dieu, ils durent fuir à Chypre pour échapper au
massacre des enfants ordonné par le roi qui avait peur pour son trône.
Ils ne rentrèrent qu'à la mort de ce dernier et s'installèrent à
Nazareth où désormais l'enfant prit le nom de Christos pour n'être pas
reconnu.
Parvenu à l'âge d'homme, il quitta ses parents pour parcourir le monde et se mit à prêcher.

Il repoussa toutes les tentations que la Créature sans Nom lui proposa
dans le Désert (luxure, orgueil, ...) et bientôt fut accompagné par 12
disciples auxquels il demanda d'abandonner tous leurs biens pour le
suivre. Sa sagesse et les miracles qu’il fit attirèrent à lui nombre de
gens qui se convertirent.
Parvenu à Jérusalem, il révéla au peuple qu’il était le Messie de la prophétie.

Cependant, trahi par l’apôtre Daju et accusé d’être un élément de
désordre dans la cité, il fut traduit devant le procurateur romain,
Pierre Ponce, qui, excédé, le condamna à la crucifixion.
Christos conduit sur le lieu du supplice fut insulté, frappé, fouetté,
écartelé puis cloué à une croix où il agonisa et rendit l’âme.
Alors les cieux se déchaînèrent, faisant fuir la foule et des anges
descendirent des cieux pour emporter le corps de Christos aux yeux de
ses disciples.


Ses idées:



- Christos nuança la vision d'Aristote sur le retrait du monde,
en ce sens qu'il affirma que l'homme a besoin de temps de repos,
d'isolement et de quiètude afin de réfléchir pour mieux apprécier ce
qu'apporte la Cité aux humains.
Cependant, le désert reste un lieu dangereux puisque c'est là que la Créature sans Nom essaya de tenter Christos.



- il prêcha l'amour de Dieu, appelant les hommes à la vertu, la justice et la tempérance afin de se protéger de la tentation du péché.



- il enseigna la vertu de la simplicité, appelant ses disciples à négliger les richesses et les ornements de ce monde



- il appela les hommes à la solidarité,
non seulement entre eux, mais aussi entre les peuples (« vous devez
savoir que toutes les nations ont droit au respect et leur peuple à la
liberté et à notre amitié, disait-il »)


- il prêcha pour l’égalité entre les hommes et les femmes (« les hommes comme les femmes sont les enfants de Dieu et en cela, ils sont égaux »)



- il condamna l’esclavage et les salaires de misère
(« faire travailler un vagabond à la mine pour moins de dix-sept écus
est une honte, même s’il vient d’une autre Cité. Et le faire suer pour
moins de dix-huit écus, en le faisant tuer veau, vache, cochon, couvée,
est un scandale ! »)


- il invita les hommes à confesser leurs péchés afin de recevoir le pardon et l’amour de Dieu



- il dénonça les mauvais prêtres qui par leur incurie laissaient le peuple sans guide, car c’est par leur faute que prospèrent les cultes païens





La fondation de l’Eglise :



A Jérusalem, il invita tous ceux qui voulaient suivre le chemin tracé
par Aristote et par lui-même à former une communauté et fit de l’apôtre
Titus son second à la tête de celle-ci.
Il nomma les 11 autres apôtres évêques et leur donna comme mission
d’aider Titus à fonder l’Eglise et à diffuser le message de Dieu à
travers le monde.


Il institua le baptême, geste qui symboliquement lave le nouveau converti de tous ses péchés, comme signe d’entrée dans l’Eglise.



Il institua aussi la confession, moyen par lequel l’Eglise pardonne ses péchés à celui qui se repend avec sincérité, contre quelque pénitence.



Il fit du mariage un sacrement dispensé pour la vie, avec interdiction de le rompre et interdit aux évêques de pouvoir se marier ni commettre l’acte de chair car il doivent aimer l’Humain et non un humain et se consacrer totalement à Dieu.



Il recommanda aux apôtres de commémorer son sacrifice par le pain et le vin (« Consacrez le pain et le vin de l'amitié, symboles de ma chair et de mon sang »)



Il défendit aux prêtres de l’Eglise d’exercer le métier des armes
Gracius, si tu veux aussi devenir un de ces bergers qui guidera le
troupeau, tu devras laisser choir ton glaive, car les armes sont
sources de violence alors que tu auras mission d’enseigner l’amitié et
l’amour de Dieu").
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MessageSujet: La Pastorale Annexe 2   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:38

Père Aaron a écrit:

Le Crédo, commenté par son Eminence Aaron de Nagan, cardinal de la Sainte Eglise Aristotélicienne.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,

Créateur du Ciel et de la Terre,

Des Enfers et du Paradis,

Juge de notre âme à l'heure de la mort.



Et en Aristote, son prophète,

le fils de Nicomaque et de Phaetis,

envoyé pour enseigner la sagesse

et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.


_________________________



Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,


Dieu est tout puissant car sans lui rien ne peut exister. Dieu est la
source de toute chose, de la matière comme du vide, si bien qu’avant la
création du monde, il n’existait même pas de vide car même le vide est
quelque chose. On appelait alors cet état sans existence « le Néant », où seul Dieu était.


Le temps, le mouvement, l’existence et le savoir sont issu de Dieu
Lui-même. Il est la source de toutes choses. Il est omnipotent car il
suffit à Dieu de penser pour que le monde se fit, Il est omniscient car
Il est la source même du savoir et de l’existence, Il est omniprésent
car tout est issu de Lui et tout est en Lui.


Enfin, le Très-Haut, par son statut de divin, de source de la
Création, est infini et éternel.Par Lui tout s’est fait, et rien de ce
qui s’est fait ne s’est fait sans Lui. Il est l'Alpha et Omega, ce qui
signifie « le premier et le dernier ».




Créateur du Ciel et de la Terre,


Cette phrase est à la dimension de l’homme. Par cette réplique, l’on
tente d’englober l’ensemble de la Création, car de notre condition, la
terre et le ciel sont partout. En affirmant que le Très-Haut créa le
ciel et la terre, où que nous position notre regard, de l’Orient à
l’Occident, du Septentrion au Midi, nous ne faisons que contempler
l’œuvre de Dieu, et uniquement celle-ci.


Par le ciel et la terre, on réunit donc l’ensemble de la création
visible par l’homme, car la réplique suivante définira ce qui lui est
invisible. Cependant, le ciel et la terre ne se résument pas aux
arbres, à l’humus, aux nuages ou à la pluie, ils s’étendent aussi à
l’homme, à l’ensemble des créatures vivantes, mais également aux
sentiment, aux émotions, à tous ce que l’homme peut vivre ou ressentire
et par qui ces sentiments existent.




Des Enfers et du Paradis,


Comme tout est issu de Dieu, le Tout-Puissant est également à
l’origine des Enfers et du Paradis. C’est le monde invisible, par
opposition au monde visible qu’est la terre et le ciel, comme nous
venons de le démontrer. Le Livre des Vertus est une source appréciable
pour connaître ces lieux, notamment dans sa troisième partie qui à pour
titre « l’Eclipse » et où un jeune homme fait un songe durant lequel il visitera à la fois les Enfers sélénites et le Paradis solaire.


Car bien que nous évoquions de temps à autre que nos morts aillent au
ciel, c’est en fait sur le Soleil qu’ils se rendent, terre d’accueil
des enfants défunts du Très-Haut, terre de la Cité Céleste. C’est là,
derrière l’image que nous avons des grilles du Paradis qu’Aristote et
Christos, entourés des archanges et des d’anges, attendent ceux qui
auront réussi à vivre une vie exemplaire, vertueuse, aristotélicienne…
A l’inverse, le sol lunaire attendra les hérétiques, les incroyants et
les infidèles qui n’auront pas cru en l’existence de l’Eternel.


Sur la lune règnent les sept démons qui caractérisent les sept
péchés capitaux, par opposition aux sept archanges qui symbolisent les
sept vertus fondamentales de l’aristotélisme et qui eux vivent auprès
du Créateur.




Juge de notre âme à l'heure de la mort.


Le chapitre de l’Eclipse du Livre des Vertus est un texte important
pour connaître se qui nous attend dans l’au-delà. Sypous, personnage
principal de cette partie, nous relate sa confrontation avec le
Tout-Puissant durant son songe, ou il Lui dit :
« J’ai compris le sens du Salut. Lorsqu’un humain a vécu dans la vertu,
s’étant ainsi conformé à Ta divine parole, transmise par le prophète
Aristote et par Christos, le messie, Tu lui accordes le droit d’accéder
en ces lieux, au Paradis, au sein du soleil. S'il se détourne de la
vertu, refusant d’écouter Ta divine parole, qu’il s’abandonne aux
plaisirs terrestres, à l’égoïsme, à la tentation, à de fausses
divinités, Ton infinie sagesse t’amène à l’envoyer en Enfer, sur la
lune, pour y être puni pour l’éternité. Tu nous aimes, mais c’est
également à nous de T’aimer. »


Ce passage résume les deux possibilités qui s’offriront à nous
lorsque nous serons face à Dieu le jour de notre mort. Nous nous
soumettrons alors à son jugement. Cependant, le Très-Haut nous laisse
une chance, un choix, une dernière possibilité de nous racheter, si
nous venions à Le rejoindre plus vite que nous l’aurions pensé.


En effet, dans son infinie mansuétude, Dieu nous permet de revenir
à la vie si arrivé devant Lui, nous ne nous estimions pas assez
vertueux pour mériter le Paradis, qu’au vu de notre vie la sentence
pourrait bien être la damnation éternelle à l’enfer lunaire. Choisir de
revenir à la vie, c’est vouloir changer de mode d’existence et se
tourner désormais vers l’aristotélisme et ses valeurs, car le deuxième
jugement pourrait bien être sans appel…




<li>Et en Aristote, son prophète,

le fils de Nicomaque et de Phaetis,
</li>

Aristote le sage, serviteur du Très-Haut, à qui le Verbe divin a été révélé et qui annonça la venue du salut et de la lumière.


Depuis Oane, premier être humain à comprendre Dieu et à conduire la
communauté originelle du Tout-Puissant, les hommes s’étaient peu à peu
détourner de Dieu pour finalement oublier jusqu’à Son existence. C’est
alors qu’Il décida de poser la première pierre d’un édifice qui allait
devenir sans doute la deuxième plus belle œuvre de Sa création :
l’Eglise.


Aristote fut éclairé par la lumière divine, sa raison et ses
enseignements allaient ouvrir le monde sur une nouvelle ère, celle du
retour de la communauté des hommes dans le sillage de l’Amour infini du
Très-Haut. Il était la première partie du binôme fondateur de
l’Institution de Dieu et il annonçait déjà celui qui le compléterait :
Christos.




<li>Envoyé pour enseigner la sagesse

et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
</li>

Trois logions, symboles du message de Christos qui sont certaines
de ses paroles révélatrices mises par écrit, servirons à nous
expliquer, ou en tous cas nous aiderons comprendre ce passage du credo.


Dans le logion III, Christos disait : «
Mes amis, l'âme est composée de deux parties: la compréhension et le
savoir. Aristote est venu vous apporter la compréhension, moi je suis
venu vous apporter le savoir. Entre Aristote et moi se tient toute la
différence qui existe entre convaincre et persuader. »
Cette
phrase, peut-être compliquée, doit être associée à deux autres logions
afin d’être éclairée. Il s’agit du logion IV et V dans lesquels
Christos affirme : « La foi apporte la vérité. Mais pour la comprendre, il nous faut user de la raison » et «
La raison et le mysticisme permettent tous deux de comprendre Dieu,
chacun d'eux se retrouvant dans chacun de nous. A vous de trouver votre
chemin vers le Très Haut en vous inspirant de la raison d'Aristote et
de mon mysticisme »


Nous sommes donc face à plusieurs éléments de nous même, de notre
âme et de notre esprit : la foi, la raison, la compréhension, le savoir
et le mysticisme. Aristote touche plus particulièrement notre esprit,
car Dieu se révèle tout d'abord dans sa doctrine lumineuse et ses
enseignements, doctrine qui annonçait de manière prophétique
l'enseignement de la Lumière d’une façon tout autre mais non moins
complémentaire par le prophète Christos.


Foi et Raison sont comme les deux facettes d'une même réalité, comme l’exprime le logion que nous venons de citer : « La foi apporte la vérité, mais pour la comprendre, il nous faut user de la raison »...
Une même réalité qui forme un ensemble éclairé par les prophéties
divines transmises aux hommes par l’intermédiaire d’Aristote et
Christos. La vérité de la Raison et la compréhension furent l’œuvre du
philosophe grec ; elles furent le premier élément de cet universel
sentiment que l’homme a retrouvé depuis la chute du paganisme : la Foi
et la conscience de l’existence d’un seul et unique dieu : le
Très-Haut.



Je crois aussi en Christos,

Né de Maria et de Giosep.

Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,

Il est mort dans le martyre pour nous sauver.

Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.



Je crois en l'Action Divine;

En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;

En la communion des Saints;

En la rémission des péchés

En la Vie Eternelle.


___________________________



<li>Je crois aussi en Christos,

Né de Maria et de Giosep.
</li>

Christos est messie, guide et miroir de la divinité.


Devant le spectacle impie qu’offrait l’humanité, Dieu décida, dans
son infinie bonté et sagesse, qu’il était temps pour les hommes de voir
arriver celui qui fut annoncé par Aristote, pour apporter le divin
enseignement, incarnant par la même l’amitié vertueuse et le
philanthropisme.


Christos aura la volonté d’aller enseigner à toutes les nations, de
compléter l’ouvrage entamé par son illustre prédécesseur dans l’optique
de l’établissement d’une Institution forte, morale et vertueuse, au
service du Créateur duquel Il avait reçu la vérité divine.


Il affrontera sans relâche les tentatives perverses de la bête sans
nom, il luttera par la foi, la sagesse et la non-violence contre ceux
qui l’empêcheront de délivrer son message. Il finira enfin par s’offrir
à l’humanité afin de monter à Dieu que l’homme peut atteindre l’amitié
parfaite vertueuse et unitive jusqu'à se sacrifier pour les autres sans
rien attendre en retour.
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MessageSujet: La Pastorale annexe 2 suite   Doctrines de l'Eglise Aristolicienne Icon_minitimeSam 12 Avr - 20:39

<li>Je crois aussi en Christos,

Né de Maria et de Giosep. </li>


Christos est messie, guide et miroir de la divinité.


Devant le spectacle impie qu’offrait l’humanité, Dieu décida, dans son
infinie bonté et sagesse, qu’il était temps pour les hommes de voir
arriver celui qui fut annoncé par Aristote, pour apporter le divin
enseignement, incarnant par la même l’amitié vertueuse et le
philanthropisme.


Christos aura la volonté d’aller enseigner à toutes les nations, de
compléter l’ouvrage entamé par son illustre prédécesseur dans l’optique
de l’établissement d’une Institution forte, morale et vertueuse, au
service du Créateur duquel Il avait reçu la vérité divine.


Il affrontera sans relâche les tentatives perverses de la bête sans
nom, il luttera par la foi, la sagesse et la non-violence contre ceux
qui l’empêcheront de délivrer son message. Il finira enfin par s’offrir
à l’humanité afin de monter à Dieu que l’homme peut atteindre l’amitié
parfaite vertueuse et unitive jusqu'à se sacrifier pour les autres sans
rien attendre en retour.




Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.


Christos est, comme nous l’avons expliqué précédemment, le message
complémentaire du Très-Haut et indispensable à la compréhension de la
foi aristotélicienne. Par Aristote, emblème de la Raison, les pauvres
d'esprits apprendront la science, et par Christos, porteur de la Foi,
les savants progresseront dans la sagesse et dans la piété. L'équilibre
prophétique divin trouve là son fondement.

L'étude de la philosophie et de la théologie doit être développée dans
cet esprit d'union, et les théologiens seront conscients que de la
beauté et de la pureté de leur doctrine découlera l'image que les
fidèles se feront de la beauté même de Dieu. Ainsi les Livres Saints de
la Révélation de Christos et ceux de la Révélation du Logos écrits par
Aristote devront être lus de concert et se complètent mutuellement.


Voilà pourquoi Christos nous indique le chemin du Paradis. Par sa
doctrine, sa foi et son message, il compète sont prédécesseur dans une
indispensable explication du mysticisme et de la foi. Il faut trouver
le juste milieu entre les vertus et les péchés, entre les vertus
elles-mêmes et entre la foi car il ne suffit pas d’être vertueux pour
être aristotélicien, il faut aussi croire, il faut avoir la foi, il
faut être persuadé par le message de Christos. C’est en cela que sa vie
exemplaire est essentielle et c’est par ce qu’elle est exemplaire que
celle-ci nous mène tout droit au Paradis solaire.




<li>C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,

Il est mort dans le martyre pour nous sauver.

Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.</li>



« Lui, aimant jusqu'a la fin, Homme parfait pur de tout péché
accepta ce sort avec humilité, afin de réparer par son sacrifice
volontaire les péchés de tous les hommes passés, présents et futurs et
pour établir à jamais l'amitié entre les hommes et avec Dieu. »


Christos fut condamné à la croix, comme plus tard beaucoup des premiers
aristotéliciens. Mais ce qu’il y a d’admirable dans ce fait, c’est que
Christos c’est offert lui-même à l’humanité pour réparer les fautes
qu’elle avait commises au cour des siècles, fautes qui l’avait amenée à
renier l’existence de Dieu. Par son sacrifice, Christos apporte le
salut et prouve à Dieu que l’on peut offrir, jusqu’à son propre corps,
sa propre vie, sans rien attendre en retour et pour le bénéfice des
autres.


La volonté de Christos en se donnant aux hommes est que ceux-ci
adhèrent à l’Eglise de Dieu, croient et fondent leurs existences sur
les principes aristotéliciens, la foi, les enseignements prophétiques
de la raison et du mysticisme, et enfin, qu’ils imitent sa propre vie
pour le salut de leurs âmes et la plus grande gloire du Royaume de
Dieu.


Pour que jamais nous n’oublions, Christos institua le sacrement de
l’amitié que nous répétons à chaque office. Le pain et le vin, symbole
du prophète offert à l’humanité, sont ainsi partagés à chaque
célébration pour symboliser le partage et les liens qui lient ainsi les
fidèles de l’Eglise, ce en sa propre mémoire et en celle du Très-Haut
qui l’avait envoyé.




Je crois en l'Action Divine;


L’Action Divine se manifeste quotidiennement par la foi des fidèles
aristotéliciens. La seule survivance de la Sainte Eglise à travers les
premiers siècles de notre ère et jusqu’à nos jours en est la preuve la
plus fondamentale. Persécutés, crucifiés, martyrisés, les premiers
aristotéliciens n’en sont pourtant pas resté à une simple communauté
numériquement faible. A travers l’espace et le temps, grâce à la Foi,
vivifié par l’Action Divine, l’aristotélisme s’est développé malgré les
contraintes et les vilenies que l’autorité en place infligeait aux
premiers fidèles.


L’Action Divine, c’est l’espoir et la Foi, insufflée par Dieu aux
hommes à travers l’Eglise qui canalise et centralise celle-ci pour la
redistribuer à l’ensemble des fidèles, animant et inspirant cette
volonté de se rapprocher toujours plus du divin à travers les
sacrements donnés par la Sainte Institution de Dieu sur Terre
elle-même.

L’Action divine, c’est la sève de l’arbre qui permet à celui-ci de grandir sans cesse, de porter feuilles et fruits…




En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;


La Sainte Eglise Aristotélicienne trouve ses racines à la fois en Terre
Hellénique et en Terre Sainte. C’est l’union entre les deux
enseignements des prophètes Aristote et Christos qui donna naissance à
la Sainte Institution. Ils sont le fondement même de la parole divine
et sans lesquels l’Eglise n’existerait pas.


Cependant, c’est à Christos que l’on doit la création
institutionnelle de l’Eglise de Dieu. En effet, lors d’un repas il
interpella Titus, l’un des ses apôtres préférés, et le chargea de
l’aider à construire l’Eglise pour la plus grande gloire des Cieux. A
ses autres disciples, il confia la lourde tâche de porter la bonne
parole à travers l’empire romain qui pourchassait à cette époque tous
ceux qui se revendiquaient de la philosophie aristotélicienne.

Aujourd’hui, les évêques sont les successeurs des apôtres de Christos,
et le premier d’entre eux est le successeur de Titus, l’évêque de la
Ville Eternelle, voilà pourquoi on la nomme « Romaine », c'est également pour cela qu'elle est apostolique.


En outre, Elle est « Sainte » car Institution de Dieu. Elle est « Une » car les fidèles ne forment qu’une seule et même famille dont le père est le Créateur Lui-même. Elle est donc « Indivisible » car « Une ».
Dieu étant Un, la foi étant basée sur l’Amitié Unitive, tout schisme
est donc considéré comme un reniement de l’Eglise primaire fondée par
Christos, et un reniement d’une partie de la famille à laquelle on
appartient, sinon de l’autorité ou de la légitime succession du premier
représentant de Dieu sur terre.


Enfin, par son statut d’institution de Dieu par laquelle Il fait
entendre sa voix, la Sainte et Immuable Eglise Aristotélicienne est
seule qualifiée pour interpréter l'enseignement divin. Elle veillera
ainsi en bon pasteur, comme le fut Christos, au maintien de l'unité de
la Foi, de l'harmonie de la doctrine, et de la concorde entre les
croyants.




En la communion des Saints;


Cette réplique est d’une importance majeure car elle symbolise
l’union universelle de l’Eglise à travers le temps, l’univers visible
et invisible. On nomme aussi « Communion des Saints » l’Amitié Aristotélicienne.


Lorsque l’on devient fidèle de la Sainte Eglise Aristotélicienne par le
baptême, nous sommes invités à tendre vers le divin. Or, tendre vers le
divin, c’est tendre vers l’état de sainteté, état que tout fidèle est
invité à atteindre… Pour notre Sainte Mère l’Eglise, le fidèle est
saint quand il a atteint le paradis solaire, gage d’une vie qui fut
vertueuse, du moins, suffisamment pour que le Très-Haut ait accordé Sa
confiance et le droit de vivre éternellement dans la Cité Céleste.


A côté des fidèles, devenu saints par leur accession au Paradis
solaire, nous trouvons les Saints placer sur un piédestal par la Sainte
Eglise. Ceux-ci sont ceux qui ont eut une vie plus vertueuse encore que
la normale. Ils sont distingués car l’Eglise est certaine qu’ils ont
atteint le Soleil sans entraves ni difficultés. Ils sont élevés en
modèle de sanctification et intercèdent auprès du Tout-Puissant lorsque
les fidèles d’ici bas leur adressent des prières.

Enfin, comme nous le spécifions au début de ce paragraphe, la communion
des Saints ne se limite pas aux défunts, elle englobe ce que l’on nomme
l’Eglise Militante et l’Eglise Triomphante. La première étant l’Eglise
d’ici bas, la seconde étant l’Eglise des Cieux, toutes deux rassemblées
en une seule et même Eglise pour la plus grande gloire de Dieu.


La Communion des Saints doit être, avant tout, une Communion de toutes les âmes en Celui qui est la vie, la Lumière et l'Amour.




En la rémission des péchés.


Un théologue* du Saint-Office, la congrégation qui à pour charge la
conservation et l’analyse des écritures et des dogmes, faisait
remarquer que les érudits des temps anciens et de nos jours affirmaient
par calcul que la Lune était beaucoup plus petite que le Soleil,
lui-même immensément plus grand que la Terre. Or, comme nous le savons,
le Soleil est la terre d’accueil du Très-Haut pour les âmes des
défunts.


Ainsi, nous pouvons donc en déduire, que Dieu, dans son infini
sagesse et sa pleine omniscience savait que l’homme ne serait pas
foncièrement mauvais, mais justement qu’il chercherait à se faire
pardonner des fautes commises, puisqu’Il a prévu un lieu infiniment
plus grand pour les âmes sauvées que pour les âmes damnées.


Avec l’Amour, le Pardon est sans doute le plus beau cadeau que le
Seigneur peut nous donner après le don de la vie elle-même. Dieu, dans
son infinie mansuétude, pardonne aux hommes leurs fautes, leurs péchés.
Cependant, l’homme doit croire en cette rémission, en ce cadeau. Il
doit entreprendre cette démarche dans l’optique sincère de se voir lavé
du mal commis.


Et c’est par la confession que Dieu nous accorde son pardon.
Lorsque l’on partage ses peines et ses regrets avec quelqu’un, un
prêtre, on entreprend la démarche de se soulager d’un sentiment, d’un
souvenir de culpabilité. « Le commencement des bonnes œuvres, c’est la confession des œuvres mauvaises. Tu fais la vérité et tu viens à la Lumière. »

Parfois, se sera dans la souffrance que l’on lavera ses péchés, mais ce
n’est pas pour autant qu’il faut la rechercher, car Dieu ne le veut pas
ainsi. Si elle se présente, si on la subit, il faut la prendre comme
une épreuve à surmonter grâce à la foi retrouvée en la rémission du
péché, pour la rendre plus forte encore qu’avant. C’est la le but de la
pénitence, renforcer la Foi à travers un sacrifice du corps et de
l’esprit et recouvrer pleinement Dieu et la communion des Saints.


Croire en la rémission des péchés, c’est donc croire en l’infinie
bonté du Très-Haut, en son amour infini, en son pardon gracieux et
gratuit. La seule rétribution qu’il demande en retour, c’est de l’aimer
!




En la Vie Eternelle.


La vie éternelle sera l’affaire de tout homme. Qui soit bon ou
mauvais, après sa mort il sera confronté au jugement divin qui décidera
si l’homme est condamné à l’enfer lunaire ou au paradis solaire pour
l’éternité. Le premier est bien entendu un monde de souffrance et de
malheurs que se partage les sept ange-démons symbolisant chacun un des
grands péchés. Chaque homme jugé indigne du paradis solaire sera
affecté à l’un d’eux selon le vice vers lequel il aura le plus tendu.


Le second est le monde de Dieu, le lieu de la Cité Céleste où sont
rassemblé l’ensemble des fidèles de la Sainte Eglise qui ont mené une
vie exemplaire, empreinte de vertu. On y retrouve Aristote, Christos,
Oane, le premier d’entre les humains à avoir compris Dieu, les sept
archanges et les myriades d’anges, les saints, nos frères et nos sœurs
en l’Eglise…


Ceux qui sont dans la gloire du Ciel, auprès du Père universel et
créateur, vive pour l’éternité à ses côtés dans la pleine béatitude et
l’amour infini du Tout-Puissant. La vie éternelle au sein de l’Eglise
Triomphante de la Cité Céleste est le point d’aboutissement de la Foi
du fidèle aristotélicien.
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